La Cérémonie de la Répartition: 1er Septembre 2032

Le voyage en train avait enfin prit fin et j'avais naturellement suivis mes camarades du même âge dans Pré au Lard. Je n'avais pas fais attention aux plus jeunes qui devaient avoir été conduit au château par un autre chemin et je m'étais retrouvée dans une des nombreuses calèches qui semblaient se mouvoir seules. 

Mais alors que maintenant tout le monde s'installaient à leur table j'étais perdu, je ne savais plus où me mettre. Les premières année n'étaient de toute évidence pas encore répartit et le reste des élèves savaient dans quelle maison ils étaient. Etant entrée par les portes de la Grande Salle, je restais plantée là, à l'écart de tout ce monde sans savoir si je devais rejoindre les plus jeunes et si au moins je n'avais pas été oublié. 

* Je dois bien être sur leur liste quand même. Personne ne m'a rien dit, si ça se trouve je devais aller avec les 1er années. Leur organisation est mal fichu. *

Je n'osais pas bouger de mon coin et personne, même pas les professeurs, ne semblaient avoir fait attention à moi. Non pas que je m'en plaignais mais tout ça m'impressionnait tout d'un coup : une nouvelle école, une nouvelle maison ... Une nouvelle vie et je ne le réalisais soudain que ce soir. Tout en prenant conscience de ma nouvelle vie, le directeur avait entamé le discours de rentrée en commençant par annoncer plusieurs morts. 

* Et bah ! On ne va pas s'ennuyé ici, c'est plus mouvementé qu'en Amérique ... Et plus inquiétant aussi. *

Ensuite il enchaina en parlant de règlement, d'ordre et de sécurité que j'approuva. J'étais peut être intenable quand il s'agissait de bêtises mais je ne me mettais ni ne mettais jamais les autres en danger. Et puis je ne l'avouerais jamais à personne mais j'étais plus que fière du métier de mon père qui me semblait la voix à suivre le jour où je grandirais et arrêterais de courir partout. 
Le discours terminé le directeur, qui m'inspirait de la sympathie, laissa la place à une autre personne moins bien inspirante à coté du fameux choixpeau magique et une liste de noms à la main. 

* Pourvu qu'on ne m'oublie pas. *



Finalement après un temps qui m'avait parut durer une éternité, j'entendis enfin mon nom. En fin de liste évidemment puisque les P étaient en fin d'alphabet. A rester debout si longtemps et appuyée contre le mur j'avais finis par être toute engourdit et je sentis tout mon corps me lâcher quand je sursauta pour m'avancer. Essayant de cacher mes joues rouge de honte de commencer ma rentrée par une belle gamelle, je me relevais aussi vite, réajusta ma nouvelle cape noire et traversa toute la Grande Salle en cachant ma soudaine timidité par un air fière. Arrivée sur l'estrade, je m'assis sur le tabouret laissa ce Cooper me poser le choixpeau sur la tête. 

* Mmh, pas facile, je vois que l'on ne sait pas rester sage ... Ton entêtement irait bien aux Serpentards, mais ton courage est digne des Gryffondors ... A Ilvermorny quand plusieurs maisons nous choisissent c'est à nous de fait le choix final ... Mais tu n'es plus à Ilvermorny, te plieras-tu à de nouvelles coutumes ? Je vois que oui, rien ne te fait peur et c'est une chose que l'on apprécie chez les ... *

- GRYFFONDOR !!!

Je poussa un gros soupire, soulagée d'avoir enfin une réponse, de savoir où m'installer pour manger ce soir, où dormir cette nuit et d'être de nouveau quelqu'un, puisque le temps de notre scolarité nous ne nous identifions que par notre maison. Retrouvant le sourire d'en avoir enfin fini, j'allais m'asseoir à la table des rouges et or qui applaudissaient fièrement leur nouvelle recrue.

Le discours commençait enfin. Le directeur annonça, comme prévu, la mort de Miss Lester, mais il annonça aussi la disparition d'Azel et l'hospitalisation de deux autres camarades. Mais que se passait-il dans le monde des sorciers ? Winonna était inquiète, très inquiète, à l'idée de perdre sa famille, un autre camarade ou ... à la pensée d'une invasion de Poudlard. Le Directeur n'insista pas et personne ne sut les origines de ses mystérieuses attaques. 

La répartition débuta, pour le plaisir des premières années et de leurs futures maisons. Cette cérémonie était tellement importante !  C'était un des événements favoris de la préfète. Miss Parrish s'avança vers le choixpeau. La blonde savait que sa nouvelle camarade n'appartiendrait pas aux jaunes et noirs : elle n'avait pas la personnalité pour. Mais les trois autres maisons pouvaient lui convenir. Finalement, Ariane fût répartie chez les Gryffondor. Winonna applaudit, regardant fièrement sa camarade qui intégrait officiellement Poudlard. 


Les Poufsouffles n'avaient pas accueilli beaucoup de premières années cette année, mais cela ne faisait rien. Miss Diggory parcouru du regard sa table pour observer les poufsouffles, qui, au fil des ans, étaient devenus une famille pour elle. Déjà six années que la jeune fille habitait ses murs et elle les aimait tellement. Poudlard était un rêve depuis toujours. Il fallait faire quelque chose pour que personne ne détruise les valeurs de cette école. Un truc ne tournait vraiment pas rond et ces événements n'étaient pas une coïncidence.

"Lupin John."

Des murmures curieux vinrent de certaines perosnnes, mais je les ignorait totalement. Je m'assis sur le tabouret de bois, mes pieds frôlaient à peine le sol. Je sentis un tissu rèche sur le dessus de ma tête, et une voix s'éleva dans mon crâne.


"Interessant... tu es modeste et persévérant, jeune homme, ainsi que curieux et débrouillard... oui, des qualités de diverses Maisons... voyons, où vais-je te mettre..."


J'étais un peu inquiet, au fond je me moquais de la Maison dans laquelle je pouvais être envoyé, mais je ne voulais pas rester trop ici, sous les regards.

"Je ressens une grande bravoure en toi, une certaine maturité... tu pourrais te révéler étonnant dans une situation critique... oui, je pense que tes qualités se développeraient mieux à... GRYFFONDOR !"


Cette fois, le cri s'était élevé dans la salle, et des applaudissements rententirent. Je retirai le choipeau trop grand, sautai à bas du tabouret et allai m'assoir rapidement.

Gustave eut du mal à tenir debout : il avait voulu être le premier à voir le magnifique château de Poudlard , et avait ainsi failli tomber dans l'eau du Lac . Le temps n'était pas venu pour les accueillir non plus , et ils avaient reçu une grosse averse . Mais Gustave était tout de même content d'être enfin au chaud et au sec . Tout d'un coup , on leur fît signe d'entrer et la longue file de premières années s'avança dans la Grande Salle et il y eut beaucoup de murmures . Il fallait dire qu'en même temps , cette gigantesque pièce du château était magnifique . Au moment de leur entrée , un homme se leva et s'avança devant la table des professeurs . Gustave en déduisit que cet homme devait être le directeur . Le discours qu'il prononça n'était pas aux réjouissances et Gustave en sût un peu plus long sur ces morts et disparitions . Les autres élèves de toutes années avait l'air de découvrir en même temps que lui les noms qui s'ajoutaient à la liste des victimes des Panseurs . Puis un homme à l'air froid déroula une liste . Il commença à appeller plusieurs noms . Gustave remarqua la fille rencontrée dans le train qui se nommait Marlène , mais il fût plus que surpris que Ariane , qui semblait avoir l'âge d'être en sixième année se trouvait parmis la foule des élèves de première année attendant le moment où ils seraient appellés . Gustave était curieux d'en savoir plus sur elle . Puis , l'homme appella son nom .Gustave s'approcha du tabouret et enfonça le Choixpeau sur sa tête .

- Mmh , intérressant ...Tu as l'intelligence et la curiosité ce qui irait bien chez Serdaigle , je ressens qu'un grand courage jamais découvert se trouve au fond de toi , sûrement utile à Gryffondor , une malice et une pointe de méchanceté t'enverrait bien à Serpentard , et ta loyauté et ta gentillesse conviendrait parfaitement à Poufsouffle ... Mais je crois que le meilleur choix parmi tous est ...

 ... Poufsouffle !

Gustave retira le Choixpeau de sa tête , content , car il avait l'impression que ce chapeau en savait plus sur lui que lui-même . Puis il se dirigea vers la table des Poufsouffles fier des applaudissements  .