Serdaigle !

Ce matin là quand Tyler ouvrit les yeux, il avait encore envie de rester dans son lit bien au chaud, mais avec quelqu'un à ses côtés ça aurait était mieux, mais bon voilà, il était seul, il aurait bien voulu avoir passé la nuit avec un autre bleu et bronze qui hantait depuis quelque temps ses pensées. Le jeune homme qui le troublait ainsi s’appelait Sonny. 

Tyler se leva donc et regarda par la fenêtre pour voir quel temps il faisait. Le ciel était grisonnant et lui donnait encore moins envie de sortir sa chambre. Le jeune Serdaigle alla prendre sa douche, puis enfila son uniforme de sorcier, et se dirigea vers la grande salle pour aller déjeuner. Une fois qu'il eu fini de manger, Tyler alla dans la salle commune des Serdaigle.

Arrivé dans la tour, le jeune homme aperçu une personne qui était assise devant la cheminée et qui fixait les flammes plongée dans ses pensées. Cette personne, c'était le fameux Sonny, celui qui troublait le jeune homme depuis un petit moment. Il est vrai qu'il était si beau et sexy, Tyler le fixait quand soudain le beau jeune homme s'adressa à lui et lui demanda s'il était intéressé de s'inscrire dans l'équipe de Quidditch :

-Oui pourquoi pas tout dépend qui sera dans l'équipe...

Tyler fixait Sonny droit dans les yeux

Sonny avait l'air gêné, et il se passa une main dans ses cheveux et sourit avant d'ajouter qu'il souhaite s'inscrire comme poursuiveur de l'équipe. Le garçon se leva, et prit la feuille avant de la ramener avec lui dans le fauteuil, avec une plume auto-encreuse. Je le vis signer.

Je m'approchais donc de lui, le regarde et lui dit :

- Bah si tu t'inscris, moi aussi alors.

Je pris la feuille, et ma main frôla la sienne... Sa peau est tellement douce, un frisson me parcouru le corps, et je n'avais qu'une envie lui sauter dessus et l'embrasser... Mais je n'allais pas faire cela ici, et je ne savais même pas si je lui plaisais, enfin je le soupçonnais mais je ne n'étais sûr de rien. Je le regardais, lui sourit :


-Ta peau est si douce, c'est naturel ?


A cet instant je sentais mon visage devenir rouge, ce garçon me plaisait tellement mais je ne savais pas si moi je lui plaisais aussi. Si c'était le cas, j'aurais aimé qu'il me le montre par des signes ou alors directement en m'embrassant.... Mais pour le moment il fallait que j’arrête de penser car je commençais à me faire des films

Tyler s'approche et me dit que puisque je m'inscris, il le fait aussi. Est-ce que je peux espérer qu'il éprouve les mêmes sentiments que moi pour lui ?


Il prend la feuille et nos mains se touchent. Il me demande si ma peau douce est naturelle. Soit il se moque de moi, soit il me drague. J'espère que c'est la deuxième solution.
Je rougis mais je ne veux pas retirer ma main de ce contact qui me fait tellement plaisir...


- Je, heu, je sais pas...


Mes yeux rencontrent les siens et je rougis encore plus et retire ma main et baisse les yeux. S'il n'a pas compris ce que je ressens pour lui j'ai encore une chance de ne pas passer pour un idiot, surtout s'il n'est pas gay comme moi...
Il faut que je change de sujet, il faut que je trouve quoi dire, que je ne laisse pas un blanc s'installer entre nous... Mais  qu'est ce que je peux dire ? Je me maudit de ne rien sortir d'intelligent, surtout que je suis un Serdaigle !

698 caractères

Sonny et Tyler se regardaient dans les yeux, quand le brun se mit à rougir, il retira sa main et baissa les yeux.Tyler continuait de le regarder avant de lui dire :

- Désolé si je t'ai mis mal à l'aise, je n'en avais pas l'intention.

A cet instant le jeune homme ne savait que faire ni quoi penser, il devait dire quelque chose pour enlever la gêne causée par ses paroles, mais que dire ou que faire sans que ce soit mal interprété ou causse une gêne encore plus grande ?

Tyler prit la feuille et signa pour le poste de batteur. Une fois sa signature sur le parchemin, il le roula et le posa sur la table se trouvant à coté du beau gosse. Le jeune homme hésita un petit moment puis dit :

- Bon moi je dois y aller

Il prit la direction de la pote, mais juste avant de sortir il se retourna vers Sonny :

- Tu sais tu ne devrais pas rougir comme cela, tout ce que je t'ai dit est vrai.

Et le jeune homme franchit la porte 

Après avoir écrit encore quelques lignes, Dorea posa sa plume. Elle sortait d'une dure journée et devait rendre trente centimètre de parchemin pour le lendemain. Ayant presque finit, elle s'accordait une petite pose pour souffler et se détendre le poignet tout crispé. Sa brûlure avait presque disparu. Elle déssera sa cravate. Il faisait chaud, sur une table près du feu. Plus qu'elle ne pouvait le supporter. Mordillant son crayon comme elle le faisait souvent, elle se reconcentra sur son parchemin. *Plus que 5 centimètres*. Penchant la tête pour mieux réussir à lire le livre posé devant elle, elle reçut devant les yeux toutes la masse épaisse de ses cheveux. Agacée, elle les réattacha vaguement. Elle n'était pas d'humeur à perdre trop de temps avec ça. Elle avait eu une semaine bien trop fatiguante, avec des insomnies très désagréables, comme toutes les insomnies. Ses cernes violettes le montraient d'ailleurs bien, elle n'était pas au meilleur de sa forme. Parfois elle se demandait même si elle n'avait pas un peu de fièvre. Mais ce n'était qu'une idée passagère, car bien vite tout allait mieux. Fatiguée, elle ferma les yeux quelques instants. Quand elle les rouvrit, ce fut sur le visage souriant d'un Serdaigle qu'elle connaissait bien.


-Tu veux t'asseoir ? 

Après un hochement de tête du garçon, elle décala ses affaires éparpillées et lui montra la place qu'elle avait faites.

Merci. C'est toujours ici que je m'asseyais, avant.

La place au bord du feu était souvent libre, car il y faisait souvent un peu trop chaud et qu'elle était un petit peu trop éloignée de la bibliothèque au gout de certains Serdaigles. Dorea en était bien consciente et en avait profité pour ce garantir une place quasiment toujours libre. Aussi elle se trémoussa, gênée.

-Je peux partir... si tu veux ?  

Elle regretta d'un coup d'avoir attaché ses cheveux, car ils auraient à ce moment cachés son visage à coup sur rougissant. Elle haïssait la tendance qu'avait sa peau à se colorer dès qu'elle était gênée. Et dieu seul savait à quel point elle l'était en présence du frère de Marianne. 

-Ne va pas croire que ta présence me gêne

Pourquoi est-ce qu'il avait un sourire aussi gentil ?  Dorea serait prête à s'en arracher les cheveux. À en pleurer aussi. Elle avait l'impression qu'il contrôlait ses réactions, qu'il le savait et qu'il en jouait. Savait-il réellement à quel point son cœur faisait des bons dans sa trop petite cage thoracique ? Savait il à quel point elle avait du mal à respirer ? Il devait au moins savoir à quel point elle rougissait. Sa peau mat devenait tomate. Elle sentait ses joues chauffer. Trop chauffer. Un mal de crâne pointait. 


-Si... D'accord, je reste alors ? 

Devant elle sa copie attendait toujours d'être complétée, les 5 centimètres vides la narguant toujours autant. C'était assez désespérant. Elle n'avait pas la motivation pour le compléter, elle voulait juste dormir, ou discuter avec le beau gosse qui servait de frère à son amie. D'un coup, elle n'eut plus chaud, mais au contraire très froid. Beaucoup trop froid. La cheminée lui paraissait soudain beaucoup trop loin. Elle se leva, appuyée contre la table, et commença à faire quelques pas hésitants vers le feu.

-Dorea ?  Est-ce que ça va ?

Mais l'aiglonne n'entendit pas la voix inquiète de Bryan. Ses membres s'engourdissaient, elle ne parvenait plus à réflechir. Elle avait froid. C'était tout  ce qui comptait. Elle ne se sentit pas partir en arrière, pas plus qu'elle ne sentit deux bras chauds la rattraper. Parce que Dorea n'était, à cet instant, plus consciente. Les voix inquiètes, elle ne les entendaient plus. Elle en avait rarement entendu. Les bras de la personne qui la portait, elle ne les sentaient pas non plus. Pour une fois, elle ne s'inquiéta pas de savoir si son sauveur ou sa sauveuse n'allait pas la trouver lourde. C'était en plus une question assez inutile, car en s'y prenant bien, il n'était pas trop dur de soulever 45 kilos. Enfin, sans doute que la personne qui la portait jusqu'à l'infirmerie serait heureuse de la poser sur un des lits rugueux. Dorea, elle, serait moins heureuse de se retrouver là bas.

Sawal prit une grande inspiration et entra dans la salle commune. À peine avait-il posé le pied dans la pièce qu'il s'arrêta, bouche bée. La pièce était magnifique, jamais il n'aurait pensé que les salles communes puissent être aussi spacieuses et si bien décorées. Quelques élèves discutaient sur les fauteuils mais aucun ne sembla lui prêter attention.

Il posa son sac sur le sol en regardant autour de lui.

- Alors c'est là que je vais passer le reste de mon année, murmura le jeune homme d'une voix rêveuse. Mais c'est génial ! ajouta-t-il en sautillant comme un enfant.

Il eut une pensée triste pour Hilly qui était restée seule au manoir et baissa la tête. Il se sentait coupable de l'avoir abandonnée. Il se reprit rapidement, c'était elle qui l'avait aidé pour convaincre leur parents, il devait profiter. Pour elle. Avec un sourire, il ramassa son sac et se mit à la recherche du dortoir des garçons.

Félicitations pour ton premier Rp Sawal


N'oublie pas de marquer à la fin de ton rp (le 1er) avec qui tu le fais, et une fois celui ci fini de nous l'indiquer.
Pour ce faire, je t'invite à aller lire le sujet des notes de fin de Rp.

Bon jeu à toi et encore bravo pour t'être lancée dans l'aventure.


Le Maître du jeu

Je fais tourner ma baguette magique autour de mon doigt depuis dix bonnes minutes lorsque Sawal, le garçon que j'ai rencontré au parc, entre dans la Salle Commune. Vus ses yeux équarquillés, c'est la première fois qu'il entre ici. Il traverse la salle en direction de notre escalier, et je me marre doucement. Si il se fait avoir, ça va faire du spectacle. Mais bon, je suis pas cruelle à ce point. Je me lève, range ma baguette derrière l'oreille, et traverse la salle pour le rejoindre.

"Hé, mec ! Le dortoir des gars, c'est de l'autre côté ! Evite de monter cet escalier, sauf si t'aime faire du toboggan."

Sawal se dirigea vers un escalier au hasard sans trop savoir si c'était le bon. Les marches en pierre usées par le temps semblaient bien monter vers un dortoir. Mais lequel ? Telle était la question. Il s'apprétait à monter lorsqu'une voix joyeuse l'interpella.

C'était Marlène, la jolie blondinette qu'il avait croisée dans le parc. Elle se dirigea vers avec un sourire, la baguette coincée derrière l'oreille. 

- C'est vrai ? Oups, merci de m'avoir prévenu ... mais c'est quoi cette histoire de toboggan ? C'est juste un escalier, non ?

Comme pour prouver ses dires, il posa le pied sur la première marche ... qui disparut aussitôt. Sawal se retrouva allongé par terre sans trop savoir pourquoi. Il jeta un coup d'oeil a l'escalier, qui s'était transformé en un toboggan parfaitement lisse. Les yeux brillants, il se releva.

- Mais c'est génial, s'écria-t-il, je veux recommencer !

"C'est vrai ? Oups, merci de m'avoir prévenu ... mais c'est quoi cette histoire de toboggan ? C'est juste un escalier, non ?"

Je souris de son innocence, et éclatai franchement de rire quand il se rétama, l'escalier s'étant changé en toboggan.


"Mais c'est génial, s'écria Sawal, le cul par terre, je veux recommencer !
-ouais, moi aussi j'adore !"


J'escaladai la rampe et me jetai dans l'escalier-toboggan, riant aux éclats. J'adorais ce système, seulement beaucoup de gars de Serdaigle étaient trop malins pour essayer de monter. Malheureusement...
Je montrait à Sawal comment s'accrocher à la rampe pour monter, espérant que l'escalier n'allait pas réagir bizarrement.

Dorea descendait de son dortoir, espérant s'installer sur une table de la salle commune pour étudier. Elle avait pris avec elle toute sa pile de livre, et était franchement surchargée. En bah résonnait des rires, ce qui en soit n'était pas quelque chose de très classique chez les Serdaigles, plutôt coincés. Alors qu'elle posait son pied sur la première marche, elle se sentit partir en arrière. Étonnée, notre Serdaigle se retrouva en bah de l'escalier, sur les fesses, avec tout ses livres éparpillés autour d'elle. Sans savoir vraiment pourquoi, elle éclata de rire. Il lui revenait en tête des moments heureux de son enfance, quand elle allait jouer dans des parcs avec sa mère. Elle tourna ensuite la tête et aperçu Marlène et un autre Serdaigle au look particulier escaladant la rambarde de l'escalier. Elle leur sourit:

-Vous faites quoi?

Doréa passa entrombe sur l'escalier, des livres éparpillés autour d'elle. Elle attérit sur les fesses, et demanda distraitement :


"Vous faites quoi?
-On fait du toboggan, un peu comme toi, quoi ! Jolie descente, d'ailleurs ! Tu veux de l'aide pour tes livres ?"


En pronnonçant cette dernière phrase, je me laissai glisser sur la pente, et attérit juste derrière Doréa toujours par terre, manquant de l'écraser de justesse.

"Oups, désolée !"


Je me relevai précipitamment et m'écartai avant de poser les livres en une énorme pile un peu branlante, sur le côté de l'escalier, et de tendre la main à mon amie.

Sawal montait, agrippé à la rambarde pour une énième descente, quand une jeune fille et la moitié d'une bibliothèque passèrent à côté de lui. Il redescendit en trombe, inquiet pour la pauvre jeune fille. Arrivé en bas, il vit que Marlène, après lui être rentrée dedans, l'aidait à ramasser ses livres. Il s'agenouilla à côté d'elles pour les aider. Il en profita pour détailler la jeune brune à qui appartenait ces livres.  Elle avait l'air sérieuse pourtant elle avait bien rit en aterrissant en bas des escaliers.

Posant un livre sur la pile chancelante, Sawal demanda :


- Ça t'arrive régulièrement de te balader avec une bibliothèque dans les bras ? Non parce que c'est pas hyper pratique ... 

Il sourit et lui tendit la main.

- Au fait moi c'est Sawal Azel et toi ?

Dorea sourit à son tour aux deux autres Serdaigles, absolument pas rancunière à propos de sa chute dans les escaliers

-Un peu trop souvent à mon goût, oui. Merci pour les livres.

Elle se pencha également pour ramasser ses livres, sentant à présent que la chute lui avait atteint le dos. Elle grimaça le plus discrètement possible lorsqu'elle sentit son dos craquer sinistrement. Puis elle répondit au garçon aux cheveux blanc et rouges en songeant qu'il ne manquait plus que le bleu pour faire le drapeau français.

-Moi, c'est Dorea MacHaddish, élu Miss avec le nom de famille le plus difficile à prononcer

Elle devait se méfier de ne pas se faire découronner, car certaines des personnes qu'elle avait rencontré récemment avait aussi un nom bien fleuri.

"Moi, c'est Dorea MacHaddish, élu Miss avec le nom de famille le plus difficile à prononcer.
-Sérieux ?! Depuis quand ?"


Je savais pas, ça. Je tripotai mon bracelet de force, que j'avais eu pour mon anniversaire et que j'adorai. C'est là que le toboggan, à ma grande déception s'est rechangé en escalier.

"Dommage... dis, Saw', tu veux de l'aide pour ton installation ? Nous, les filles, on peut monter chez vous. L'injustice est flagrante, mais c'est comme ça. Enfin, Doréa, si tu veux aller ranger tes livres, je comprendrai."

Je sourit à ceux qui étaient à n'en pas douter mes meilleurs mais à Serdaigle, et attendit, espérant des réponses positives.

-Moi, c'est Dorea MacHaddish, élu Miss avec le nom de famille le plus difficile à prononcer.

-Sérieux ?! Depuis quand ?

Sawal rit, il ne le trouvait pourtant pas si difficile à prononcer ce nom de famille ... Il jeta un coup d'oeil à l'escalier, prêt pour une autre glissade mais constata qu'il était redevenu une simple volée de marches. Il haussa les épaules, une prochaine fois peut être. 


"Dommage... dis, Saw', tu veux de l'aide pour ton installation ? Nous, les filles, on peut monter chez vous. L'injustice est flagrante, mais c'est comme ça. Enfin, Doréa, si tu veux aller ranger tes livres, je comprendrai." proposa Marlène en jouant avec son bracelet. 

Sawal se rappela soudain que, en effet, son sac traînait toujours près de l'escalier. Il le ramassa et le mit sur ses épaules. 


- L'injustice est un fléau que nous devons tous combattre. Et non merci, ça ira, vous inquiétez pas. De toutes façons, je vais juste aller poser mon sac et je redescends après. J'ai pas envie de tout déballer maintenant. 

Il n'avait surtout pas envie qu'on voit le contenu de sa valise, il avait emmené beaucoup d'objets qui lui tenaient à coeur et il n'aimait pas vraiment qu'on le questionne sur ce genre de choses. 


- Occupez vous plutôt des livres de Miss Nom Imprononçable, ils sont peut être abîmés, poursuivit-il dans rien laisser paraître, je vous rejoins dans cinq minutes.

Dorea baissa les yeux sur la pile de livre qui ce trouvait par terre, et les souleva à pleins bras, avant de se diriger vers une table toute proche. Voyant dépasser des pieds de sous la table, elle demanda, cachée par ses livres:

-Ça ne te dérange pas que je pose mes livres ici?

Elle attendit très peu de temps avant d'entendre la réponse du propriétaire des chaussures :


-Oui, vas-y

Elle reconnu trop tard la voix de Bryan, mais elle ne pouvait plus reculer. Elle prit une grande inspiration et décida de suivre les conseils de Marlène. Elle posa donc ses livres.

-Salut Bryan, je te présente Marlène, elle est dans mon dortoir. 

Gênée, elle baissa vite les yeux sur ses livres, cherchant les endroits abîmés, désolée d'avoir abîmé ses livres qui lui avaient coûtés cher pourtant.

Dorea me présenta a un mec que je n'avait vu bien qu'il soit de notre Maison, et j'écarquillai les yeux. C’était lui, le fameux Brian ? Je saluai le garçon, comprenant mieux comment et pourquoi Dorea pouvait se comporter de facon totalement contradictoire a son sujet. Je sourit, songeant était, a mon avis, le meilleur choix pour mon amie.

"Salut Brian ! Moi, cest Marlene. Mais bon, Dorea l'a deja dit. Je suis la fille du lit voisin, si tu veux. En meme temps, Dory est un peu ma meilleure amie, du moins a Serdaigle. Je rit. Bon, on va pas se tomber dans les bras en pleurant non plus, hein !"

Je sourit joyeusement au jeune homme.

"Tu nous aide a ranger ? On Galere un peu, la." je dit ça avant d’attraper un bouquin et de le poser sur la table.

Je commençai a ramasser les livres un a un, stupéfaite de la quantité de travail. Décidément, Dorea n’était pas a Serdaigle pour rien !

Les yeux de Dorea restaient obstinément rivés au sol. Bon Dieu! N'avaient-elle vraiment aucune chance, ou bien était-ce les dieux qui étaient contre elle? Elle ne pouvait pas atterrir ailleurs qu'aux pieds de Bryan!

[size=31]-Pas de problème[/size]

Ses mains bronzées tremblaient, et pas vraiment discrètement en plus. La Serdaigle lâcha le livre qu'elle avait dans les mains et ses yeux se remplirent de larmes, qu'elle refusa de laisser couler. Trop fière pour ça. Ce fut Bryan qui ramassa le livre, et quand elle vit le regard inquiet qu'il lui lança, elle eut juste envie de pleurer encore plus. Elle détourna bien vite le regard et se reconcentra sur ses livres. Elle ne savait plus quoi faire. Elle détestait être impuissante et ne pas contrôler ses sentiments, c'était une des raisons qui faisaient qu'elle avait du mal avec Bryan. Il l’empêchait de tout contrôler.Elle devait trouver un échappatoire. Comme elle n'était pas à Serdaigle pour rien, elle trouva son échappatoire.

-Merci


Si Bryan savait à quel point ce petit mot avait plusieurs sens. Le premier était évident, Dorea le remerciait pour l'aide qu'il apportait avec les livres. Mais il y en avait plusieurs autres, que seul l'esprit tortueux de la brunette connaissait. Se sentant sur le point de craquer, elle détourna le regard et finit par s'enfuir, ses épaules tressotant au rythme de ses sanglots.