Le jardin secret d'Elizabeth Peverell & Cody Greengrass [Privé]

J'ai donné rendez-vous à mon bien aimé, dans un lieu qui parait totalement aléatoire lorsqu'on ne connait pas l'existence de la salle sur demande. Ce couloir, fort heureusement souvent vide, ressemble à tous les autres, mais si je m'en réfère aux écrits de Neville Longdubas et au livre que j'ai potassé des heures durant ce matin-même, alors je suis au bon endroit.

J'attends impatiemment. Je suis un peu en avance et c'est terriblement stressant. C'est alors que je le vois arriver, d'un pas précipiter de celui qui a hâte d'arriver. C'est adorable. Il arrive, je l'embrasse d'un baiser tout doux, puis, devant son air étonné, je lui dis:

- J'espère que ça va marcher! Normalement, derrière ce mur, se trouve une salle magique qui apparait en fonction de nos besoins. J'ai en tête une salle cosy rien qu'à nous, un espace totalement personnelle, dans laquelle on se sentirait en sécurité. Tu n'auras qu'à penser à cette salle en passant trois fois devant ce mur pour qu'elle apparaisse et qu'on puisse se retrouver dans un lieu privé. J'espère ne pas me tromper!

Je prends la main du beau jeune homme, et commence nos allers-retours en souhaitant du plus fort que je puisse, une salle privée, une sorte de jardin secret... Je n'ai aucune idée de ce que l'on va découvrir, ni même si quelque chose va se passer. Nous achevons notre troisième passage. Le spectacle est épatant.

Des entrelacs apparaissent au mur, doucement, se dessinant comme par un pinceau invisible, c'est magnifique. Une grande arche se forme, et une perspective ressort soudain. Une porte vient d'apparaitre, magnifiquement travaillée. Je regarde mon amour, lui sourit et l'embrasse, puis je l'attire vers cette porte qui nous appartient. Je l'ouvre.

Le spectacle est de toute beauté, dépassant mes rêves les plus fous. La pièce est immense! Au centre, trône une espèce de lit rond géant du genre de ceux sur lequel on se vautre et qu'on ne veut jamais quitter, rouge sang et jaune d'or, à la fois de velours et de satin, et pleins de coussins, ancré dans le sol. Des bougies rouges flottent un peu partout.

A droite, des hamacs, des poufs, posés ça et là autour d'une immense étagère remplir de livres en tous genres, d'objets de tous types et de plantes grimpantes. A côté, un petit salon cosy, et quelques tables de travail.

A droite, une table et des chaises, un buffet rempli de victuailles. Des chandelles sont posées sur la table en cas de diner romantique.

Derrière, un grand rideau sombre qui semble cacher... une cage? Cet élément me perturbe énormément, mais je ne dis rien. Le reste est tellement magnifique!

Je regarde mon bien aimé, fière de notre oeuvre et lui saute au cou, heureuse du résultat. Nous pourrons enfin être seuls et... mon coeur se met à battre à cette idée. Il bat de peur et d'excitation à la fois. Je me tourne vers Cody, un sourire sur les lèvres que je ne peux effacer.

- J'espère que cet endroit te plait, nous y seront en sécurité, même si j'ignore pourquoi certains éléments font partie de ce décor de rêve, j'espère qu'il te plait. J'avais envie de pouvoir être avec toi, seuls, sans risque d'interruption, juste toi et moi. J'ai envie d'être avec toi Cody, je t'aime comme jamais je n'ai aimé!

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- J'espère que cet endroit te plait, nous y seront en sécurité, même si j'ignore pourquoi certains éléments font partie de ce décor de rêve, j'espère qu'il te plait. J'avais envie de pouvoir être avec toi, seuls, sans risque d'interruption, juste toi et moi. J'ai envie d'être avec toi Cody, je t'aime comme jamais je n'ai aimé!

Tout ce ci me surpris, le fais de trouver un lieu secret pour nous aimer me fis comprendre qu'elle ne voulait pas que sont père sache ou qu'il n’était pas au courent ou pire encore qu'il s’était opposé a notre amour. Le moment n’était pas a la réflexion, je pris ma petite rebelle dans mes bras et lui dis:

- je t'aime ma petite rebelle, et cet endroit est parfais. Je ne sais pas comment tu as trouver tout ça mais ça me touche que tu l'ai fait pour nous.

J'invitai ma petite rebelle a s'assoir sur le lit qui se trouvait au milieu de la pièce et m'installa a coter d'elle. Je la regarda et lui dis:

- Elizabeth, j'ai quelque chose pour toi.

Je sortis le paquet de ma poche l'ouvris et lui donna le contenu. Une petite boite noir recouverte de velours avec une attache dorée ou pour la fermer. Elizabeth l'a pris et l'ouvris. Avant qu'elle est eu le temps de dire quoi que ce soit, je repris:

- C'est une bague, sont anneau est composé d'or blanc entrelacé de diamant fondu. Le tout est donc fusionné, j'ai pensé que tu trouverai sa jolie. Le cristal qui orne cet anneau d'or blanc et de diamant est un cristal Krayt, rare, il est utilisé par certain mage noir car c'est un genre de catalyseur qui augmente ton pouvoir ainsi tu as plus de chance de réussir tes sort informulé et les sorts que tu lancera avec ta baguette seront plus puissant.

Ma petite rebelle me regardais avec des yeux rond, et stupéfaite. Elle n’était pas au bout de ses surprises. Je continua mon explication:

- Ce cristal là est particulier car j'ai demandé qu'il soit enchanté, c'est un tout petit enchantement de rien du tout, je te rassure. C'est un enchantement de proximité, c'est à dire que quand je suis à tes cotés le cristal sera de couleur verte. En mon absence, il sera de couleur bleu. Il change de couleur quand je suis à moins de cent mètres de toi.

Ma petite rebelle semblait stupéfaite, j'avais du la prendre au dépourvu. Je finis donc par lui dire:

- Voila j'aimerai que tu l'as porte, pour deux raisons. Première raison, ça me ferai plaisir et deuxième raison, c'est pour ta sécurité. Si on te demande ou tu l'as trouvé, tu peux dire qui te l'as offert. Je t'aime ma tendre et douce.

Sur ces mots, je me tus enfin, souris en lui caressant le visage de ma main gauche afin de lui laisser le temps de reprendre contenance.

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Cody parut surpris, et ça me fait plaisir. Ma recherche aura été utile.

Il pose ses mains sur ma taille et me dirige vers le lit, l'air tout heureux, tout excité par quelque chose que j'ignore, et auquel je ne risquait pas de m'attendre. Il m'annonce qu'l a quelque chose pour moi. Mon coeur fait un bond, il tient parole! Cette petite phrase qui m'avait parut anodine, dite un peu sur le tas comme on dit qu'il fait beau: "je vais te faire un cadeau...", je ne pensais vraiment pas qu'il s'exécuterait!

Il me présente alors un petit coffret de velours noir, une attache dorée dessus pour le garder fermé. Rien que la boite est splendide. Que peut-il y avoir à l'intérieur? Lorsqu'il ouvre le petit coffret, mes yeux s'illuminent, c'est de toute beauté!

La bague est scintillante comme jamais j'ai vu quelque chose scintiller! Elle est blanche et bleue, comme tréssée, et surmontée d'une magnifique pierre vert à mi-chemin entre le turquoise et l'émeraude. Je n'ai jamais vu une telle merveille.

- C'est une bague, sont anneau est composé d'or blanc entrelacé de diamant fondu. Le tout est donc fusionné, j'ai pensé que tu trouverai sa jolie. Le cristal qui orne cet anneau d'or blanc et de diamant est un cristal Krayt, rare, il est utilisé par certain mage noir car c'est un genre de catalyseur qui augmente ton pouvoir ainsi tu as plus de chance de réussir tes sort informulé et les sorts que tu lancera avec ta baguette seront plus puissant. Ce cristal là est particulier car j'ai demandé qu'il soit enchanté, c'est un tout petit enchantement de rien du tout, je te rassure. C'est un enchantement de proximité, c'est à dire que quand je suis à tes cotés le cristal sera de couleur verte. En mon absence, il sera de couleur bleu. Il change de couleur quand je suis à moins de cent mètres de toi.

- Cody! [...] Tu es fou! Elle doit couter plus chère qu'une corne de Cornelongue Roumain!

Je me calme un peu, et reprends dans un souffle léger, presque un chuchotement, les larmes me montent aux yeux lorsque je regarde le jeune homme.

- Elle est magnifique... je ne sais pas quoi dire, vraiment je...

Je ne sais pas quoi ajouter, une larme perle sur ma joue droite, incontrolablement. Je regarde mon bien aimé droit dans les yeux et le laisse passer la bague à mon doigt. Cet effet est tellement étrange, merveilleux, touchant que je ne retiens plus mes larmes. Il relève la tête vers moi et me voit ainsi, mais avant qu'il ne réagisse, je m'accroche à son cou, heureuse, et l'embrasse fougueusement. Mon geste a été si brusque qu'il bascule en arrière. Je ne lache pas ses lèvres et tatonnant, je déboutonne sa chemise pour sentir ma peau sous mes mains. Je glisse alors mes mains jusque dans son dos, et le serre contre moi. Lachant enfin ses lèvres, je glisse mon visage dans le creux de son cou.

- Je ne veux pas que tu t'imagines que ce que je vais faire c'est pour la bague... c'est parce que je t'aime et que je veux que ce soit toi...

Je m'éloigne légèrement de lui et commence à déboutonner mon chemisier en tremblant. Je sens ses mains se poser sur mes hanches à présent dénudées, fermement, comme pour me rassurer et me donner confiance. J'ai confiance... et je m'abandonne à lui, lui offrant ce que je ne pourrais offrir qu'une fois, mon innocence.

[........................]

Sous la couette, en boule contre le flanc de mon amoureux, je cherche des yeux mes vêtements, assez mal à l'aise mais heureuse. Je tremble encore un peu, mais le stress a disparu, ce sont mes muscles qui sont meurtris. Je regarde amoureusement Cody en posant ma main sur son torse.

- Je suis désolée, je pensais attendre mais je ne pense qu'à toi, jour et nuit, j'ignore pourquoi, mais c'est ce que je voulais... j'espère ne pas t'avoir brusqué...

Le souvenir de nos corps entrelacés brule encore en moi. Je me sens comblée, heureuse et insouciante. Je souris à mon charmant prince, enfin bien dans ma peau.

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Elle était la, dénudé dans mes bras je sentais son cœur battre. Cet instant d'abandon total qu'elle a eu envers moi était un privilège. Cet instant a la fois fait de douceur et en même temps de forte passion qui réunissait une certaine forme de sauvagerie et de désir. Malgré le fait que c’était notre première fois cet instant avait été magique et intense.

- Je suis désolée, je pensais attendre mais je ne pense qu'à toi, jour et nuit, j'ignore pourquoi, mais c'est ce que je voulais... j'espère ne pas t'avoir brusqué...

Même après un moment pareil, de fusion et de partage, elle s’inquiète encore pour moi. Je lui répondis avec le sourire:

- Je sais que tu voulais attendre. Je t'avoue que je m'attendais ps a ce que ce sois si rapide. Disons que si j’oublie les quelques griffures que j’ai dans le dos, non tu ne m'as pas brusqué..

Tout en lui répondant, je mima avec ma main gauche dans son dos les griffures que je sentais dans le mien. Ma petite rebelle me regarda et me souris d'un air coquin. Mes mains parcourraient son
corps dot je ne pouvais plus me passer, ces mains toujours animées par le désir et la passion que j'avais pour elle.

- Je t'aime, ma petite rebelle, esce qu'une petite promenade dans le parc avec pause pique-nique te tenterai? Cela conclurait a merveille ce petit moment.

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Lorsque Cody me mime des griffures sur le dos, je me mords la lèvre, extrêmement gênée. Je ne sais pas comment il l'a perçu, mais j'essaie de faire mine que ça ne me préoccupe pas le moins du monde, mais je ne trompe personne avec mon air de petite fille égarée dans ces moments. Mais il brise le malaise avec une proposition de pique-nique, une chance, que je saisi tout de suite.

- Oh oui ça me plait! J'ai besoin de prendre un peu l'air, et j'ai super faim!

Tout en gardant la couette sur moi, je me déplace de long en large du lit pour récupérer mes vêtements et me rhabille sous la couverture.

Lorsque je sors du lit, je me rends compte que mes vêtements sont un peu froissés, mais rien de bien méchant. Cela ne devrait pas attirer l'oeil plus que ça. Je me dirige ensuite vers le buffet, prends un panier en osier sur le côté, en me demandant si il était déjà là avant que nous parlions de pique-nique, et le rempli de plusieurs mets qui m'attire, des sodas, des desserts, puis je me retourne vers Cody.

- On va au parc? Tu es prêt?

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suite au parc

Le cours à été des plus troublants, mais mes pensées n'y sont plus depuis bien longtemps. Parcourant les couloirs bondés avec Cody qui ne semble pas dans la meilleure forme, je garde le silence, à la fois inquiète et impatiente de savoir enfin ce qu'il s'est passé cette nuit.

Arrivés devant le mur en question, au septième étage, nous faisons des allers-retour comme il se doit et enfin la porte apparait. D'un signe de la main, il me laisse entrer la première, par galanterie, mais à peine a-t-il fermé la porte que je me retourne vers lui, les yeux implorants, les bras croisés:

- Explique-moi ce qu'il s'est passé hier soir, je t'en supplie, j'étais morte d'inquiétude!

Je n'ai absolument aucune idée de ce à quoi je devrais m'attendre... enfin si, une petite, mais c'est une idée qui m'effraie et je ne sais pas quelle serais ma réaction.

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A peine ai-je fermé la porte qu'Elizabeth me posa une question mais je devais tout d'abord lui annoncer le plus important. Je ne savais pas comment m'y prendre. J'enleva ma cape puis le reste de mon uniforme afin de me retrouver torse nue . Je contourna ma dulciné pour aller m'assoir sur le bord du lit face a elle. Je lui dis alor:

- Je me suis fais cette jolie blessure hier soir en me battant contre un centaure, afin de proteger celle que j'aime. Ils ont de sacrés sabot et une sacré force dans leurs jambes mais nous etions plus nombreux. Je dois avouer que je me voyais deja mort. Ils me considere comme l'un des leurs. Notre ami Mr Turner le savait et ma donné cette mixture, dont jai oublié le nom, pour me soigner. Tu veux bien m'aider à en mettre sur ma blessure s'il te plait ? Quand je bouge, j'ai atrocement mal.

Sur ces mots je lui tendis le pot en lui souriant.

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- Je me suis fais cette jolie blessure hier soir en me battant contre un centor, afin de proteger celle que j'aime. Ils ont de sacrés sabot et une sacré force dans leurs jambes mais nous etions plus nombreux. Je dois avouer que je me voyais deja mort. Ils me considere comme l'un des leurs. Notre ami Mr Turner le savait et ma donné cette mixture, dont jai oublié le nom, pour me soigner. Tu veux bien m'aider à en mettre sur ma blessure s'il te plait ? Quand je bouge, j'ai atrocement mal.

Je l'écoute sans trop comprendre, il doit bien voir le point d'interrogation au dessus de ma tête:

- Mais je ne t'ai pas trouvé dans la forêt, je ne t'ai même pas vu, j'ai juste trouvé ta cape quand des loups...

Je viens de comprendre. C'est malheureusement le pire scénario que je me suis imaginé mais je l'avais imaginé juste victime de l'un d'entre eux courant de nuit, pas un de leurs alliés. Laissant le silence en suspens, je m'approche légèrement et prends le pot avec méfiance. Je le renifle, beuuurk, ça a une odeur de terre et d'herbes fermentées, c'est immonde! Je n'ose pas tout de suite m'approcher de lui, encore un peu incertaine, même si tous les éléments y étaient, dont la pleine lune:

- Tu es... un loup-garou?

Mon regard doit être plein de pitié ou de je ne sais quoi encore de pas très agréable à lire dans les yeux de celle qu'on aime, mais j'ai envie de pleurer. Il m'a caché la vérité, mais s'il me l'avait dit plus tôt, comment aurais-je réagi? Cerrtainement très mal. Ce doit être difficile de faire un tel aveu. Je vais devoir le cacher à mon père coûte que coûte, en espérant que Monsieur Turner fasse de même.

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- Tu es... un loup-garou?

Elle avait compris, tout allait ce jouer maintenant. J'inclina la tete d'un air triste.

- Hélas oui, si tu veux partir, pour le dire a ton pere ou envoyer un hibou au ministere, c'est maintenant, je te comprendrai et je ne t'en voudrais pas. Tu devais bien l'apprendre un jour de tout façons. Je ne te l'ai pas dit plus tot car c'est assez delicat comme sujet. Je ne peut pas dire a toute les fille que je croise " coucou, je suis un lycan " je serais surement dejas mort. Tu sais que ma position est delicate.

Je me leva ten bien que mal et m'approcha de mon aimé puis continua:

- Hier soir, je t'es quitté précipitamment afin que tu ne me vois pas sous ma forme de lycan. Je devais allé a la cabane hurlante mais il etait trop tard. J'ai donc decidé d'aller dans la foret interdite. J'etais loin d'imaginer de que tu t'y risquerais. J'etais entrain de chasser avec l'ensemble de la meute quand nous t'avons entendus crier. Nous avons accourru aussi vite que nous avons pu. Mise a part le centaure qui s'est fait devorer sur place, je pense que les deux autres ont servis de repas au reste de la meute. Le chef de la meute ta fais escorter par quatre de nos chasseurs, afin qu'il ne tarrive rien sur le chemain du retour. J'etais la et je t'ai regardé, tu etais perdu et paniqué, je ne pouvais rien faire au vu de mon etat. Toute la meute a veiller sur moi durant le restant de la nuit. Mr Turner etant un ami des loups, a pu deposer ma cape a l'entré de la taniere pour que je la retrouve. Il savait pour ma lycanthropie car je suis allé faire revoir ma baguette chez Olivander et je lui signalé la particularité de mon etre et donc de ma baguette. C'est pourquoi il savait ou chercher en voyant les quatre loups derriere toi.

Je fis une pause, parler me fesais mal mais elle devais connaitre la verité. Je lui demanda ensuite:

- Tu as des questions ? Je te dirais tout maintenant que tu sais ce que je suis.

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Je l'écoute, il me dit beaucoup de chose, certaines que je comprends, d'autres moins, mais je reste attentive. Il termine en me demandant si j'ai des questions. Oui, j'en ai au moins un millier, mais je ne sais pas par où commencer. Je baisse les yeux et vois le pot que je tiens toujours. De ma main libre, j'attrape son bras gauche, pour ne pas le faire souffrir davantage, et l'attire vers le bord du lit qu'il vient de quitter. Je m'assois à ses côtés et tire légèrement son bras vers le bas pour l'inciter à faire de même.

Il s'exécute sans broncher, et dans le silence j'ouvre le pot, en prends une quantité que je juge bonne en fonction de la taille de la blessure. Ma mère utilisait souvent ce genre de pâte après ses matchs, lorsqu'elle se blessait. Je regarde la blessure, on y voit clair un hématome en forme de sabot de cheval. Les loups-garous sont plus petits que les autres loups... je me rappelle maintenant!

- C'était toi le loup de petite taille que j'ai pris pour un jeune loup... Mon Dieu, ce coup de sabot... il était d'une violence sans pareille! J'ai mal d'y penser, je me rappelle de ce couinement de douleur... ton couinement...

Les yeux embués, je relève mon regard vers le jeune homme. Cette scène m'a particulièrement marquée, et savoir en plus que c'était lui la rend encore plus terrifiante à mes yeux. C'est avec cette idée en tête que je commence à m'occuper avec douceur de sa blessure encore douloureuse à en juger par son petit sursaut lorsque je l'ai touché. Je lui étale la pâte avec délicatesse et précaution. Je garde le silence, puis lorsque je termine, je le regarde de nouveau:

- Je suis désolée de t'avoir suivi, je n'ai pas compris pourquoi tu es parti, et je n'ai pas réfléchi, c'était instinctif... Je... je n'en parlerai pas à mon père. Je pense qu'il ne cherchera pas à comprendre, et puis de toute façon, je me suis bien gardée de lui dire que nous étions ensemble. Je ne suis même pas sûre qu'il sache que l'on se côtoie.

Je m'arrête à nouveau, puis, en le regardant dans les yeux lui dis:

- Même si tout cela est un peu effrayant, je ne vais pas te le cacher... Je t'aime comme tu es Cody!

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- Même si tout cela est un peu effrayant, je ne vais pas te le cacher... Je t'aime comme tu es Cody!

Je fut surpris par sa reaction, agréablement surpris meme. Je me voyais dejas contraint de quitter le college. Je lui repondis:

- Je t'aime et merci...

J'approcha ma tete de la sienne et l'embrassa puis caressa son doux visage de la main droite.

- J'espere garder le secret pendant tout mon sejour a Poudlard. Au moin jusqu'aux B.U.S.E. Je compte trouvé un moyen de me soigner de la lycanthropie. Je fais actuellement des rechrches sur l'origine de ce fléau. Un membre de la famille Gemmyo, celui qui a fait ta bague, m'aide dans mes recherches, il me prépare la potion tue-loup pour que je reste lucide et maitre de moi meme. Hier soir si j'etais rester a tes cotés tu ne risquais pas grand chose mais par securité je preferais pas ... etre ... disons a coté de toi. J'avais peur que la potion ne fasse pas effet ...

Je pris sa main droite et regarda la bague qui trônait sur son index.

- Je n'offre pas ce genre de cadeau a n'importe qui, je voulais etre sur que tu puisse te defendre si jamais un jour ...

Je l'attrapa avec mon bras droit et la tira vers moi pour lui faire un gros calin, j'émis un petit gémissement, la manœuvre que je venais d'effectuer avais appuyer sur mon nouveau tatouage en forme de sabot de centaure.

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Il a voulu me protéger, cela va de soi, j'ai été bête de le suivre ainsi, sans savoir dans quoi je m'engageais. Il m'embrasse, et m'effleure le visage de sa main chaude, sa douce main chaude. Après ses paroles, j'observe ma bague, à mon index droit quelques instants. Il m'a dit que c'était un catalyseur, alors je la porte au plus près de ma baguette, par instinct. Elle est tellement plus belle lorsqu'il est près de moi, ce vert émeraude éclatant me rassure.

Je passe mon index gauche sur le relief du cristal somptueux, et lève les yeux vers Cody:

- J'en ai conscience...

J'ôte mes talons aiguilles de la pointe de mes pieds, et je m'installe sur le lit, en tailleur, face à mon amour. Les yeux dérivent régulièrement vers sa blessure que je ne peux voir sous la couche de pâte que le professeur lui a donné:

- Une chance que Turner le sache...

J'ai dit ça sans lever le regard, je suis complètement ailleurs. Mes pensées voguent un peu partout. Je savais qu'il avait des choses à cacher, encore que, j'espère que c'est la seule qu'il souhaitait m'épargner. Pleins de questions se bousculent, et dans un sourire de tristesse, parce que je crains la réponse, je relève les yeux et demande:

- Comment est-ce arrivé? Depuis combien de temps vis-tu cela, chaque mois? Très peu de personne survivent à une attaque... j'aimerais savoir.

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- Comment est-ce arrivé? Depuis combien de temps vis-tu cela, chaque mois? Très peu de personne survivent à une attaque... j'aimerais savoir.

Comment est-ce arrivé... voila une bien triste question, je m'installa confortablement et commenca mon recis.

- Comment est ce arrivé ? Et bien il etait une fois ... Non je rigole, dis-je avec un sourire, plus serieusement, mes parents comme ma famille en generale vouai et voue toujours un culte au seigneur Voldemort, voyant que je n’adhérai pas à leurs idées noir, ils ont decidé de me faire mordre pas un lycan afin que je ne puisse pas aller contre eux. Le lycan etait un ami a eux, il avait bue de la potion tue-loup, il etait maitre de lui meme quand il m'a mordu. Il ne reste que ces quelques trace sur ma peau de cette morsure.

dis-je en montrant de toutes petites marques sur mon bras droit.

- Mr Mulepart qu'il s'appellait, je l'ai tué lors de ma troisieme transformation. Mes parents s'amusaient a me lacher dans Londre quand je me trasformais pour que je massacre la population... j'etais un genre d'épé de damoclès, " donnez nous ce que nous voulons ou nous lachons le fauve" ,jusqu'au jour où Mr Gemmyo Rogers, que j'avais pris pour cible me captura et m'enferma. Il a veiller sur moi toute la nuit. Quand il a vu que j'etais un petit garçon et apres que je lui ai expliqué toute l'histoire. Je l'ai supplié de me tué car c'etait un cauchemard. Il a refusé et ma donné de la potion tue-loup, des instructions et un grand duc blanc ...

J'émis un petit rire:

- Et oui c'est Glen, bizzarement la veille de chaque pleine lune, il vient me voir comme si il savait que j'allais passer une nuit atroce. Glen ne me lache pas de la nuit quoi qu'il arrive. C'est pour ça qu'il nous a rejoind hier soir dans le parc. Je m'égard, ce triste evenement a eu lieu a mon dixieme anniversaires, j'ai rencontré Rogers seulement six mois plus tard. Ai-je satisfait ta curieusité ?

Je m'allongea a coté de ma petite rebelle en noyant mon regard dans ces yeux.

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Son récit est à la fois complet et plein de mystères. Je suis à la fois fascinée et effrayée. Je ne suis pas effrayée par ce qu'il est, non, mais par ce qu'il a vécu, si jeune. Je m'approche de lui et embrasse son ventre délicatement, puis je m'allonge à ses côtés, doucement toujours. Je ne tins pas à lui faire mal, il a déjà dû passer une nuit atrocement douloureuse et horrible. Je ne le quitte pas des yeux.

- Mon dieu, ça a dû être terrible de vivre ça si jeune, te rendre compte après coup de... ça me rend malade de penser à tout ça, à ce que tu as pu ressentir...

Je dépose un léger baiser sur sa joue, tout doux, et relève les yeux vers un coin de la pièce. Ce rideau... ce rideau qui cachent ces barreaux. Je me lève, toujours avec prudence, sous le regard intrigué de mon cher et tendre afin de m'approcher de cette cage. Puis je me tourne vers mon amour, comprenant quelque chose:

- C'est pour ça la cage! Lorsque nous avons cherché un endroit sûr, dans lequel nous serions totalement en sécurité. Cela fait partie de cette sécurité, un soir par mois, n'est-ce pas? Tu devras t'y enfermer la nuit complète, ou bien je pourrais dormir avec une peluche vivante avec des crocs?

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- C'est pour ça la cage! Lorsque nous avons cherché un endroit sûr, dans lequel nous serions totalement en sécurité. Cela fait partie de cette sécurité, un soir par mois, n'est-ce pas? Tu devras t'y enfermer la nuit complète, ou bien je pourrais dormir avec une peluche vivante avec des crocs?

J'eclata de rire a l'énonciation de l'idée de dormir avec une peluche vivante avec des crocs. j'avais moin mal maintenant, je tourna vers ma petite chipie et lui repondis:

- Oui la cage c'est pour ça, et pour ce qui est de dormir avec une peluche vivante avec des crocs, je ne sais pas, j'en parlerai a mon ami Rogers. De plus Glen risque de ne pas apprecier que tu lui pique son petit loup bien aimé. Il est du genre jaloux et protecteur mais il t'aime bien, c'est rare.

Je souriais a ma petite rebelle et repris:

- Personnellement ça me fais peur, si la potion venais a ne pas etre efficace. Je pourrai ...

Je ne finis pas ma phrase, l'idée etait insupportable alors de le dire ... cela était au dessus de mes forces. Je repris mon sourire qui s'etait envolé et continua:

- Je n'ai rien contre mais dormir dans le meme lit cette nuit la, veux dire que si il y a le moindre probleme tu seras sans protection et ça ça ne me plait pas du tout. Nous avons un mois pour y reflechir, mais sache que cette decision est importante et personnelle et cette decision ne tien qu'a toi. Mais oui comme tu as dis je dois m'enfermer la dedans pour ne pas te nuir.

Je contenplais Elizabeth dans sa tenue du college, et je lui fis un petit " grrr " en rigolant.

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- Ecoute, d'ici là, j'aimerais en savoir davantage sur les loups-garous, et même si Turner nous a déjà donné de très nombreuses informations... Oh non, Turner! Il est au courant! Là, il doit avoir compris que je sais et... Tu crois qu'il oserait parler à mon père?

Cela m'inquiète soudain. J'ignore jusqu'à quel niveau on peut lui faire confiance, et puis, mon père est son supérieur hiérarchique, si il se doit de lui dire certaines informations, ou pire, si il juge bon de devoir prévenir mon père d'un danger potentiel me concernant! Oh flûte de zut! Après toutes ces pensées négatives, je croise le regard dragueur de mon tendre et beau lycan, et ne peux m'empêcher de m'approcher de lui, glissant mes mains de part et d'autre de ses hanches pour les poser dans le bas de son dos.

Avec un regard aguicheur, je me mords la lèvre teintée de rouge et me colle un peu plus à lui, lui glissant dans un murmure:

- Après une telle expérience, j'aurais le droit de dormir avec mon doudou?

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- Après une telle expérience, j'aurais le droit de dormir avec mon doudou?

A ces mots je lui repondis:

- Hey je ne suis pas un " doudou " chipie !!

Sur ces mots je saisie ma dulciné a bras le corps et nous jeta sur le lit. Une fois atteris je me tenais sur Elizabeth, la main droite se baladant sur son flanc gauche, remontant sur son ventre en direction de sa poitrinepour arriver a la base de son cou terminant sa course dans la nuque ou je la saisie pour l'embrasser avec fougue et passion. Une nuit sans elle m'avais paru comme une eternité. Je ne me Faisais pas de soucis pour son pere et j'avais confience en Mr Turner. nous etions la à nous enlacer, à s'aimer c'est tout ce qui comptais pour moi.

- je suis serin et heureux avec toi, jolie coeur, je t'aime.

L'avoir dans mes bras me comblais de bonheur.

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Cody glisse sa main de ma hanche à ma nuque, me faisant frissonner de plaisir et de bien être. Il m'a tellement manqué, que j'en tremble. Il semble confiant, et ne semble pas vouloir parler plus alors. L'idée que mon père l'apprenne m'angoisse plus que je ne voudrais, mais j'éloigne cette idée sombre afin de profiter de ce moment de délectation.

En sautant sur le lit, il a dû se faire très mal, mais ne m'a pas montré sa douleur. A présent sur moi, je me sens complète. Je le pousse un peu sur ma droite, afin qu'il retombe sur son flanc gauche et de ce fait, ne tire pas trop sur sa blessure. Puis, comme un animal apeuré, je me recroqueville dans ses bras avec douceur.

Ma main gauche remonte jusqu'à son visage, ainsi que mon regard pénétrant assidûment le sien, lui faisant comprendre par un simple regard profond et aguicheur mes pensées les plus secrètes. Je prends ma baguette, la tourne et nous voilà emmitouflés dans la couette, et quittant nos uniformes si strictes...

[....]

Ca a été intense, bien qu'un peu douloureux, mais je me suis assoupie ensuite. Même si Monsieur Turner m'a donné cette potion pour le sommeil, cela n'a eu aucun effet sur ma fatigue mentale qui était toujours présente.

C'est dans les bras de mon bel et tendre amour que je me réveille, en cette fin d'après midi, après une petite sieste de une heure et demie. Je me tourne vers, lui ne pouvant m'empêcher de sourire tant je suis relaxée.

- Il va peut-être falloir rejoindre notre salle commune tout de même, avant qu'il ne soit trop tard. Je pense que ça ferait désordre de retrouver la fille du directeur dans les couloirs après le couvre feu...

- Il va peut-être falloir rejoindre notre salle commune tout de même, avant qu'il ne soit trop tard. Je pense que ça ferait désordre de retrouver la fille du directeur dans les couloirs après le couvre feu...

Elle n'avait pas tord, j’acquiesçai de la tete en me levant:

- Je dois envoyer des hiboux ... on se retrouvera dans notre salle commune. Les événements de cette nuit sont plus qu'important et il me faut etre prudent.

Sur ces mots je me saisie de parchemins qui se trouvais la. Tout en me dirigeant vers ma petite rebelle pour lui faire un calin avant de partir, j'introduis dans ma poche les quelques parchemins que j'avais ramassé. Grimpant sur le lit pour rejoindre mon aimé, je la pris dans mes bras et je l'embrassa tendrement une main sur sa joue. Je quitta ensuite le lit en direction la porte et me retourna vers ma belle:

- Je t'aime ma petite rebelle d'amour.

Je sortis pour retrouver Glen, qui m'accompagna jusqu'a la voliere du chateau.

FIN DE RP

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Sujet clos pour archivage et fermeture du collège pour l'été

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