Bureau du Professeur William Turner

- Je connais bien cette famille effectivement, et je n'ai pas été sans remarquer la bague que vous avez offert à votre amie. Et effectivement je connais aussi votre chère famille, ma famille est étroitement liée à la vôtre. Ce n'est pas pour rien que je suis le directeur de Serpentard, ce fut ma maison par le passé. Quant à la jeune Gryffondor, elle est ma stagiaire et passe beaucoup de temps ici, mais vous n'êtes pas totalement dans le faux... Effectivement, nous allons devoir apprendre à nous faire confiance, et votre appréhension appréhension est particulièrement normale, mais vous n'êtes pas le seul Lycan que je connaisse... comment expliquez-vous que j'ai pu vous déposer votre cape aussi proche de votre tanière?

William sortit une carafe de jus de citrouille bien frais et en servit deux verre, dont un qu'il tendit à Cody, ce qui lui ferait le plus grand bien de bon matin. S'asseyant sur le rebord de son bureau, le jeune professeur reprit:

- Savez-vous que vous avez une cousine à Poudlard?

- Savez-vous que vous avez une cousine à Poudlard?

Surpris des reponse de mon interlocuteur, je repondis a ce dernier:

- vous connaissez la famille Gemmyo et vous connaissez d'autre lycan ... La famille Gemmyo ne s'ouvre pas a n'importe qui et si vous aviez traqué ou encore tué d'autre lycan, mes compagnons de la foret vous aurez emporté. vous marquez des points Mr Turner, j'enverrai un hibou a la famille Gemmyo a votre sujet.

Je pris le verre de jus de citrouille qui vennait de mettre offert, le porta a ma bouche, le reniffla puis bu quelque gorgé avant de continuer:

- J'ai une cousine dans ce college, enfet cela pourrai etre dangereux. Je serai vigilant meme si je pense que peut importe qui est ce, cette "cousine " doit savoir pour ma lycantropie. Mes parent on fait bien des éloges sur mes massacre qu'ils m'ont laissé faire. J'ose esperer qu'elle est entendu mes histoire mais qu'elle ne sache pas qui je suis. De plus etant de ma famille, elle ne risque pas d'etre a Gryffondor mais plus dans votre maison, ce qui fait de vous le mieux placé pour la " surveiller ".

Je finis le verre de jus de citrouille et le reposa sur la petite table de verre où je l'avais pris puis termina en disant:

- il va etre l'heure des cours et bien que cette conversation sois des plus intéressante, je vais me voir contraint de l'ecourté. En conclusion, merci de votre bienveillance et evité d'abuser de la tolérance de nos amis de la foret, vous n'aurez peut etre pas autant de chance la prochaine fois.

Ces dernier mots etait accompagné d'un large sourire amical. En effet cela me ferai de la peine si notre professeur se faisait devorer. Je quitta donc la piece sur ces mots en direction de mon premier cour de la journée.

cody: ff3300
Mr Turner: 009999
Caractères : 1352

Visiblement, le jeune homme ne le savait pas, William réfléchis un instant avant de donner de plus amples informations. Il écouta attentivement l'adolescent qui se dirigea vers la porte avant de lui dire:

- Ne vous en faites pas pour moi, si j'ai pu m'approcher tant, c'est qu'ils me connaissent et me font confiance, et je n'ai jamais abusé de l'hospitalité de qui que ce soit. Quant à votre cousine, elle est en première année, et fille de Drago Malefoy, et le connaissant personnellement, je ne suis pas sûr qu'il ait jugé bon de donner cette information à une si jeune fille, mais n'ayant pas confiance en son grand-père Lucius, je n'irais pas parier sur son ignorance vous concernant... Mais je la surveille déjà... Bonne journée Monsieur Greengrass...

Le jeune homme partit avec un hochement de tête poli et William referma la porte derrière lui, espérant qu'une aussi jeune fille ne savait rien de tels agissements au sein même de sa famille.

Fin de RP

Il était environ vingt-deux heures, et je faisais ma ronde dans les couloirs, mes pensées vagabondant jusque... aux cachots. Ben voilà, je n'ai pas réfléchi à mon trajet et me voilà arriver dans les cachots, près de son bureau. J'hésitai quelques instants entre ma raison et mon envie, puis cette dernière l'emporta. Je m'approchai de la porte blanche de son bureau, ne sachant pas si je devais frapper et attendre ou tenter d'entrer directement.

J'entendis alors des bruits de pas plus loin sur les dalles de pierres. Et si c'était Warren, que devrais-je lui dire? Les pas s'approchant je pris mon courage à deux mains et poussa la porte, entrant sans permission dans le bureau chaleureux du beau professeur. William Turner était là assis à son bureau. Il m'observa avec des yeux étonnés.

Avec autorisation de William Turner

William était tranquillement assis à son bureau, dans le silence, feuilletant des devoirs à corriger. Le bruit de la porte le surpris et lui fit lever les yeux de ses copies. Alice entra soudainement, surprenant le jeune baroudeur qui resta silencieux encore quelques instants. Il ne savait pas comment il devait interpréter l'irruption de l'adolescente dans son bureau. Les yeux écarquillés, il s'adressa à elle:

- Alice, tout va bien? Qu'est-ce que tu fais là? Tu voulais me voir?

Il se leva de son fauteuil en cuir et contourna son large bureau en chêne blanc. Il s'apporcha de la jeune fille, un peu inquiet et ne sachant que dire. Il hésita un instant, puis glissa sa main le long du bras de la demoiselle afin de lui montrer qu'elle était la bienvenue.

- Alice, tout va bien? Qu'est-ce que tu fais là? Tu voulais me voir?

Ah oui, mais qu'est-ce que je faisais là, je l'ignorai complètement en fait. J'étais arrivé là par hasard. Enfin du moins étais-je arrivée là inconsciemment! Je levais des yeux désolés au jeune professeur qui hantait mes rêves. Ce même jeune professeur m'avait embrassée, un délicat et rapide baiser certes, mais tellement enivrant. Je l'observai un instant et me décida à lui adresser la parole:

- Je n'avais pas prévu de venir... je faisais simplement ma ronde et je suis arrivée ici, mais j'ignore ce qui m'a poussé à rentrer, alors oui, je suppose qu'au fond de moi, je voulais vous... te voir...

Le tutoyer en dehors du contexte de la dernière fois était extrèmement perturbant, mais j'avais commencé la dernière fois et il ne m'avait rien dit, pourquoi recommencer à dire "vous" après cela?

- Je voudrais savoir, comprendre... pour la dernière fois...

William écouta patiemment et avec intérêt les paroles de la jolie étudiante. Il savait que c'était très risqué et que même si il n'avait pas été professeur, cela aurait tout de même été mal vu. Il avait vingt-deux ans et elle quinze, ce n'était vraiment pas une bonne chose, c'était même contraire à l'éthique. Mais William ignorait pourquoi il était tant attiré par cette jeune fille. Il avait vu en elle une femme malgré son jeune âge. Le tutoiement de son élève lui fit particulièrement plaisir.

Il se rapprocha alors de l'adolescente, et la prit doucement contre lui, la serrant dans ses bras. Il n'avait pas de réelle réponse à la question qu'elle venait de lui poser. Il s'éloigna de nouveau d'elle avant de prendre la parole:

- Je ne comprends pas vraiment moi-même Alice... Juste, lorsque je t'ai vu, tu m'as parue être une évidence.

Une évidence... oui c'était le terme parfait. J'avais ressenti la même chose, mais ce n'est pas la même chose, je suis une élève, et cela arrive de tomber amoureuse de son professeur... mais l'inverse...

J'observais le beau baroudeur, à la fois gênée vis à vis de son statut de professeur, à la fois excitée par l'interdit, le secret. Bon ce secret ne l'était pas entièrement, Molly se doutait de quelque chose, même si je n'avais rien osé lui avouer. Plongeant dans les yeux de l'homme de mes rêves, je me demandais jusqu'où cela nous mènerait. Mais où étions-nous déjà?

- Prof... William? Qu'est-ce qu'on fait maintenant? ça me fait un peu peur tout de même... C'est... dangereux... enfin pas pour moi mais...

Je ne trouvais pas mes mots. J'avais peur de m'être emballée pour trois fois rien. Il venait de me prendre dans ses bras, mais son éloignement soudain me parut de mauvaise augure, comme si il venait de se rendre compte de son erreur.

William était parfaitement d'accord avec Alice, c'était très dangereux. Si cela s'apprenait, c'était son rôle de professeur qu'il mettait en jeu. C'était même d'une dangerosité extrème, il tenait pas moins de quatre cours, près de la moitié des effectifs. Non seulement il pouvait perdre son emploi, mais il causerai un tort énorme au collège de sorcellerie écossais.

Il verrouilla la porte d'un coup de baguette magique et accompagna la jeune Alice jusqu'au canapé, où il s'assit à ses côtes. Les mains de l'adolescente dans les siennes, il prit sa respiration:

- Alice, nous n'avons que deux choix... Soit nous ignorons notre amour et il n'y aura aucun problème, soit tu es prête à le cacher comme jamais tu n'as caché quoi que ce soit... Tu as raison, dans cette histoire c'est moi qui risque gros...

Il ne lâcha pas ses mains, attendant sa réponse. Tout reposait sur elle à présent et William Turner le savait, c'était une décision extrèmement difficile à prendre.

**Maître du Jeu** **Feuille personnage** :

Sujet clos pour archivage et fermeture du collège pour l'été

Bureau du Professeur William Turner - Page 2 2651411086

Il était minuit. William était dans son bureau depuis près d'une heure, mal à l'aise et excité à l'idée de passer un peu de temps avec sa dulcinée. La lumière tamisée donnait à l'endroit un côté chaleureux et agréable, confortable. Il allait lui proposer de passer une partie des vacances avec lui, en cachette, ici-même. Il avait conscience que ce n'était pas l'endroit le plus classieux pour une jeune fille de son âge et qu'elle pourrait refuser si elle avait prévu autre chose, mais il voulait lui proposer. Il voulait lui montrer qu'il souhaitait vraiment passer du temps avec elle. Elle lui manquait terriblement.

Et il était soumis à un dilemme. Il souhaitait aller plus loin, mais il ne voulait pas en parler à la jeune fille, ne voulant pas l'influencer dans son choix de passer cette étape. En y réfléchissant, elle l'avait peut-être déjà franchi et si tel était le cas, elle saurait le lui faire comprendre. Il ne savait pas comment agir vis à vis d'elle. Il avait tendance à s'emporter dès qu'il la prenait dans ses bras, ou pire, lorsqu'il l'embrassait.

*TOC TOC*

Le moment était arrivé. Il espérait grandement qu'elle accepte se proposition, cela leur permettrait vraiment d'apprendre à se connaitre. Il alla à la porte et ouvrit. Elle était là, oui, l'air extrèmement gênée, mais elle n'était pas seule. Ses yeux implorants semblaient s'excuser mille et une fois. William se sentit très mal à l'aise, et essaya de reprendre une constance maladroite:

- Bonsoir Miss, en quoi puis-je vous aider?

Il espérait grandement que la jeune Alice n'avait rien dit d'eux, juste qu'elle voulait aller lui parler ou n'importe quoi d'autre. Cette jeune fille ne DEVAIT pas savoir ou c'était la fin pour lui!a

**Molly Dawkins** Moderateurs **Feuille personnage** :

Molly n'avait qu'une envie : être seule quelques minutes avec Turner et lui crier haut et fort qu'elle savait. Le baroudeur aurait très certainement eu un tour de sang, tandis que la blonde ne lui aurait rien épargné.

- Bonsoir Professeur...

Le ton en disait assez long pour que déjà le jeune homme se doute de quelque chose, et la scène avait tout d'une comédie à l'eau de rose avec les costumes de bal que portaient chacun des protagonistes.

- C'est bon, détendez vous tous les deux... On dirait que vous venez de voir une acromentule géante arriver dans le château !
Je vais faire simple, et aller droit au but : je suis au courant de tout.

Se tournant vers le sorcier, la Gryffondor de 6e année continua sur sa lancée touchant ici et là divers objets :

- Je garderai le silence c'est promis et s'il vous faut un serment inviolable, alors préparez votre baguette, cependant, sachez que si vous faites souffrir mon amie, ou si vous lui attirez le moindre ennuis, vous aurez affaire à moi, et alors notre accord ne tiendra plus !
De plus, cher Professeur, je compte sur vous pour répondre si j'ai besoin de vous ou de vos services. N'y voyez là aucun chantage de ma part, juste une entente cordiale entre deux bons amis...

La Gryffondor regarda alors Turner et décida pour elle qu'il était temps de partir pour le laisser méditer à tout cela en compagnie de son élève préférée.

- Ho et si vous avez besoin de conseil sur le sexe tous les deux... N'hésitez pas !

C'est en pouffant de rire, que la jeune femme se tenait dans l'encadrement de la porte, prête à la refermer sur elle laissant Alice et le baroudeur quelque peu gênés très certainement, mais surtout ENSEMBLES.

Je n'avais pas réussi à me débarasser à temps de mon amie. elle m'avait tirée par le bras jusqu'à la porte de mon prince et avait frappé elle-même, restant plantée là, jusqu'à ce qu'il ouvre. Je le vis à son visage... à la fois de la colère, de la gêne... mais il resta poli et Molly se permit d'entrer en prime. Elle fit un monologue extrèmement gênant et alla très loin dans ses propos.

- Molly! C'est du chantage! Tu veux servir tes propres intérêts!

J'étais en colère et j'avais honte, déjà à cause du fait qu'il savait que j'en avais parlé à une personne, et pas des moindres, mais parce que je ne pensais pas que mon amie pourrais jouer de la sorte au chantage vis à vis de l'homme que j'aimais. J'avais envie de pleurer, ma soirée était gâchée, j'aurais dû prendre le risque de venir seule, voir même de demander à Warren, j'aurais pris de moins gros risque ainsi.

**Molly Dawkins** Moderateurs **Feuille personnage** :

La jeune femme s'arrêta, et explosa de rire car elle le savait, elle aidait son amie sans qu'elle sans rende compte pour le moment. Peut être ne le verrait-elle jamais, mais grâce à la rouge et or, Turner allait certainement se rapprocher plus d'Alice.

- Je t'en prie Alice ne me remercie pas. Tu me connais assez bien pour savoir que je ne cherche pas à te nuire...

La blonde ne voulait pas en dire plus, car cela gâcherai certainement les retrouvailles entre les tourtereaux et c'est en pouffant de rire que Molly finit de refermer doucement la porte avant de rester derrière pour écouter brièvement la réaction de Turner.
Allait-il chercher à lui parler ou juste fulminer alors qu'il se retrouvait enfin avec Alice seul à seule ?

La sixième année doutait que le Professeur viendrait la chercher, et c'est en sautillant que la jeune femme commençait à faire demi tour pour profiter de nouveau de la fête.

Molly lança une phrase qui, dans le moent présent, me donnait juste envie de vomir. Je me sentais mal, honteuse, ridicule et tous les adjectifs du genre tant je m'en voulais. Je voyais à son regard et je sentais dans son silence toute la rage qu'il retenait pour ne pas me hurler dessus. Je n'osai même pas le regarder plus d'une demie seconde tant j'étais minable.

Je gardai la tête baissée sans trop savoir ce que je devais faire. Je n'osai pas bouger dans l'immédiat, même si mon cerveau me hurlait de courir le plus loin et le plus vite possible. J'allais quitter le bureau, c'était certain, mais je me devais de m'expliquer avant.

- William je te demande pardon, je ne voulais pas ça je t'assure... Je n'ai rien eu besoin de dire, elle savait avant même que ça commence... J'espère que tu me pardonneras...

A ces mots, je me dirigeai vers la porte blanche du grand bureau, sans le moindre regard pour lui, déçue de moi-même et surtout mal dans ma peau. J'allais partir.

William avait gardé le silence, fulminant intérieurement, en colère contre la jeune Molly. Découverts par Thanaël à peine deux heures avant, c'en était trop. Le jeune baroudeur refoula et se calma. Il écouta Alice se confondre en excuses et lorsqu'elle se dirigea vers la porte du bureau, il la retint par le poignet ce qui eut pour effet de la surprendre:

- Alice, que fais-tu? Ne t'en vas pas! Je me doutais qu'elle savait quelque chose depuis le début, mais tu aurais dû être plus prudente, tu sais que je prends des risques énormes...

Il l'attira vers les fauteuils et la fit s'asseoir avant de reprendre. Il prit une grande inspiration pour se donner du courage:

- Alice je voulais te proposer quelque chose... Voilà, j'ai bien réfléchi, comme je ne serai pas là de tout le mois de Juillet, j'aimerai que tu passes le mois d'Août avec moi, ici.

- Alice, que fais-tu? Ne t'en vas pas! Je me doutais qu'elle savait quelque chose depuis le début, mais tu aurais dû être plus prudente, tu sais que je prends des risques énormes...

- Oui je le sais, et j'ai rien voulu de tout ça. Elle avait presque compris avant moi. Elle a même voulu jouer les entremetteuse... Et ensuite elle a réclamé des nouvelles et des détails... Et voilà, tout le monde sait à quel point elle est casse-bonbon... j'ai essayé de rester vague mais bon...

William me fit m'asseoir à ses côté dans le canapé de cuir. Il avait pris un air très sérieux et j'avais extrèmement peur qu'il ne me quitte. Je me retins de pleurer et attendis. Je ne m'attendais pas à la suite:

- Alice je voulais te proposer quelque chose... Voilà, j'ai bien réfléchi, comme je ne serai pas là de tout le mois de Juillet, j'aimerai que tu passes le mois d'Août avec moi, ici.

Je restai silencieuse quelques minutes, surprise et touchée. Je ne savais pas quoi répondre, cela poserai certainement de nombreux soucis:

- J'aimerais beaucoup... mais comment on va faire, ma mère pense m'envoyer en colonie au mexique en Août!

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