Salle commune Poufsouffle

Winonna tapa sur le tonneau , et entra dans la salle commune.Elle était déçue de ne pas avoir croiser Peeves.Elle regarda la salle , et s'approcha d'une plante , qui avait l'air mal au point


*Il faudrait que je l’amène à Monsieur Londubat*

Elle posa son sac camel sur une table basse et se posa dans un fauteuil jaune.Elle pensait à se qu'elle avait à faire pour le lendemain.Elle sortit son calepin et nota en gros :
" TROUVER GARANCE POUR LE QUIDDITCH"

Puis le ferma et le rangea.Elle se leva et fit apparaitre une tasse de thé au citron , qu'elle bu d'un trait avant de s'exclamer : " Pauvre plante ! Il faut vraiment que j'aille trouver Monsieur Londubat "
Elle prit son sac et la plante , et sortit de la salle commune à grandes pompes.

Winonna descendit de son dortoir avec un paquet dans les mains , elle ouvrit le paquet sur une table.
Elle sortit d'abord un mot qui était posé délicatement sur du papier de soie à l'interieur du colis.

" Ma Wino ,

J'ai bien reçu ta lettre.
Je suis contente que Poudlard te plaise.Tu as l'air vraiment encantée d'être là bas.
Ce n'est pas grave pour ce qu'à fait Tisamène , ne t'inquiète pas.
Moi aussi j'espère que si tu n'as pas trop de travail , que tu puisses rentrer pour les vacances.
J'ai embrassé Amos de ta part , il était content.
Tu me manques aussi beaucoup ,

je t'embrasse ma chérie ,

Ta maman Niçia. "

Winonna sourit , et posa le mot.
Puis elle sortit du paquet , une grande robe verte en satin.

* elle est sublime *

Winonna rangea tout et remonta vite dans son dortoir , super heureuse.

Winonna arriva dans la salle commune de sa maison.Elle posa son sac sur une table et se posa sur un fauteuil jaune.Il faisait frais dans la salle commune . Il faisait si chaud dehors , c'était insupportable.Une affiche sur la panneau d'affichage attira son intention.C'était un message de Garance , la préfète , qui voulait recruter pour l'équipe de quidditch.

* Je suis dans l'équipe ...* pensa t-elle en souriant.

Winonna lu à voix haute la dernière phrase de Garance : -" Nous avons plus que jamais besoin de vous "  
* je confirme , nous sommes que deux ...* se dit-elle.

puis elle se recula et vit les plantes dans un sale état.Elle prit sa baguette , s'approcha des plantes une à une et murmura

-" Aguamenti " .

Puis elle reprit son sac qui était sur la table et sortit de la salle commune.

Winonna sortit de la grande salle et se dirigea vers les cuisines.Elle marchait assez vite , et ne prenais pas le temps de regarder les tableaux animés.Puis elle aperçut la porte des cuisines et là ,
elle marcha , déterminée,  vers l'entrée de sa salle commune , où elle voulait rester au frais après cette matinée étouffante.Elle s'approchait des tonneaux puis tapa dessus , dans le rythme , entra dans sa salle commune.Il faisait frais , comme elle l'avait espéré.Elle monta dans son dortoir , enleva sa cravate de Poufsouffle , ainsi que sa robe de sorcier , et chercha dans sa malle un vêtement léger.Elle choisi un short crème en dentelle et un top court violet , qu'elle enfila vite fait.Pieds nus , elle descendit quatre à quatre les marches qui menaient au dortoir et elle posa son sac par terre.Après avoir arrosé les plantes de la salle commune , elle se posa sur un fauteuil.En regardant le plafond , elle s'imaginait son avenir.Elle voulait devenir une championne de quidditch dans Poudlard , et après avoir passé avec succès ses buses et ses aspics , elle voulait entrer au ministère de la Magie , dans le but d'intégrer le département de la police magique , où elle ferait une brillante carrière.Bien sûr , elle voulait diriger ce département.Pourquoi la police magique ? Parce qu'elle détestait l'injustice et le non respect des règles depuis son enfance.Winonna se redressa , et lentement se leva pour prendre son sac qui était par terre.Là , elle prit à l’intérieur , une photo.On pouvait voir sur celle-ci , un homme âgé , assis sur un fauteuil .Il avait l'air fatigué .A ses côtés,  une femme grande , plus jeune , brune , derrière eux se tenaient un homme , châtain , avec de grands yeux gris , et une femme , très blonde , à peine plus petite que lui , enceinte.C'étaient les grands parents et les parents de Winonna
Winonna se reposa sur le fauteuil , et murmura

- " J'espère que vous êtes fière de moi."

Winonna entra dans la salle commune et s’arrêta devant le panneau d'affichage.Elle sauta de joie.La nouvelle affiche annonçait que Pré au lard allait être ouvert ce week-end.
Elle se précipita vers une table , secoua son sac.Un bon nombre d'objets sortirent de celui-ci : un rouge à lèvres aux tons fuchsia , un mascara , des crayons de couleurs , son châle rose , une photo de son cousin qu'elle avait piqué chez son oncle , un paquet de dragées de Bertie Crochue , son calepin vert ainsi que sa plume et son encre émeraude.Elle prit son carnet , déchira une page ocre , et commença à écrire un mot à sa meilleure amie , Serenna.

" Ma chère S ,

Serais tu disposée à m'accompagner à Pré au Lard ce week end ?

Bisous bisous , W . "

Elle rangea vite fait toutes ses affaires dans son sac , plia son mot , le mit dans sa poche , sortit de la salle commune et se dirigea vers leur cachette pour y déposer le mot.

Winonna se réveilla de bonne heure.Elle était très excitée car elle allait aller à Pré au Lard avec sa meilleure amie , Serenna , et lui faire découvrir.Elle se leva d'un bon , et fouilla dans sa malle pour choisir les vêtements qu'elle voulait porter aujourd'hui.Son regard se focalisa sur une robe verte , à manche courte et col Claudine crème , qui lui arrivait au dessus des genoux.Elle décida de mettre ses ballerines couleur crème.Elle se brossa délicatement les cheveux , et les attacha en chignon .Puis elle prit son sac camel et descendit à toute pompe les escaliers du dortoir.Arrivée dans la salle commune, elle ralentit , et regarda autour d'elle : Personne . Ils n'étaient pas encore levé ou ils étaient déjà dans la Grande Salle .Winonna prit son temps , se servit du thé qui était sur une table de la salle , et alla voir le panneau d'affichage pour voir si il y avait quelque chose de nouveau , mais non , rien.Alors , elle se posa sur un fauteuil , pensant que Serenna était peut être pas encore levée .Elle chercha dans son sac son paquet de dragée de Bertie Crochue , et en prit deux.Elle mit le premier dans sa bouche , celui ci avait le goût d'olive , puis , elle mit le second , et celui ci était aux champignons.Elle fit une petite grimace , et bu d'un trait son thé.Elle se leva , rangea la boite de dragées , puis elle prit son sac et se dirigea vers la sortie de la salle commune.Elle se retourna pour vérifier si elle n'avait rien oublier.Et elle sortit.

Garance arriva dans la salle commune, manifestement déserte comme toujours. Son nouveau sac en bandoulière sur l'épaule, elle avança dans la salle, les joues encore fort sèches à cause de ses pleurs. Elle retira son sac, le posa sur une chaise autour de la table centrale de la salle commune, retira sa veste neuve couleur kaki un peu "baggy", la posa sur cette même chaise et se dirigea vers l'étroit couloir où se trouvait son lit. Elle se faufila dans l'ouverture et gagna son lit à baldaquin sur lequel elle sauta, le dos tombant sur son doux matelas et ses cheveux s'étalant sur la couverture en patchwork confectionnée par le Professeur Chourave, leur directrice de maison. Elle rêvait et pensait à ce qu'avait été sa vie jusque là, pensant à la lettre qu'elle avait reçue de la part de ses amies moldues qui étaient restées en contact avec celui qu'elles aimaient à surnommer Mono. Elles avaient tant insisté pour lui demander s'il voulait sortir avec Garance ...
"Tu veux sortir avec Garance ?"
- Baaaaah, non.
- Et tu l'aimes bien en amie au moins ??"
Et il a haussé les épaules. Désolé ma Gaga ...
*Que disai-je ... J'avais raison ...*
Et elle s'effondra de nouveau, pleurant comme jamais. Même en sachant que ce Mono ne ressentait rien pour elle, la réponse fait quand même mal au cœur ...

Après avoir pleuré un bon coup, Garance sécha ses larmes, se leva, ouvrit l'armoire située à côté de son lit, en sortit son pyjama et le vêtit. Elle rangea soigneusement ses affaires dans le placard, défit son lit, y glissa un pied avant de se souvenir que sa veste et son sac étaient encore dans la salle commune. Elle y retourna, pendit sa veste dans l'armoire, sortit et rangea toutes les affaires présentes dans le sac (en prenant soin de mettre les vêtements à part pour qu'elles soient le lendemain portées à la laverie.) (pour plus de détails, voir mon rp dans les couloirs) Enfin, Garance se glissa dans son lit froid et ferma les yeux, espérant ne plus penser à cette lettre mais faire un magnifique rêve où, peut-être, Mercure serait là ...

Winonna se dirigea vers sa salle commune , et croisa son amie Garance , qui avait l'air très nostalgique.Winonna tapa sur les tonneaux , et pénétra, lentement dans la salle.Elle se dirigea vers les dortoirs et monta , quatre à quatre , les marches.Arrivée vers son lit , elle se jeta dessus , et regarda le plafond.Elle repensa à cette merveilleuse année passée au sein de sa maison et au sein de Poudlard.Dans quelques heures , elle allait rejoindre le Poudlard Express , pour regagner la gare de King's Cross , et rentrer chez elle à Loutry Ste Chaspoule.Winonna se leva , et se mis en position assise sur son lit , et contempla les murs de son dortoir.Puis , elle se posa délicatement au sol , et tira , de sous le lit , sa malle griffonnée de ses initiales : W.D.
Winonna plia rigoureusement ses affaires , et regarda autour d'elle si elle n'avait rien oublié.Elle repensa à la photo de famille sous son coussin , et se précipita pour la prendre , et la ranger , vite fait , dans sa malle.Elle regarda la porte du dortoir , nostalgique elle aussi , comme Garance avait dû l'être , et décida de se lever.Si elle voulait revenir ici , il fallait qu’elle en parte.Elle ferma la porte derrière elle , déambula les escaliers , arrosa une dernière fois les plantes , et quitta , d'un pas fière , l'enceinte de sa maison , pour rejoindre la gare de Pré au Lard.

Je me faufila à travers la porte circulaire, passant devant les teintures jaunes qui ornaient les murs, baissa la tête pour éviter les quelques plantes suspendues au plafond. Avisant le fauteuil de cuir que je m'appropriais habituellement, à proximité d'une table basse, je déposa mon sac et m'y installa. Je soupira d'aise, appréciant les qualités architecturales de ma salle commune qui la rendaient confortable et lumineuse. Et même accueillante. Je la retrouvais toujours telle qu'elle m'avait plu la première fois que j'y étais entrée. Cette fois ci, elle était vide, j'étais encore plus en décalage que je ne le pensais. La seule à poser ses bagages alors que tous le monde est en vacances ! Mais après avoir été si absente les années précédentes, mieux valait être en avance cette fois ci. Enfin, j'aurais une semaine début septembre à passer au chemin de Traverse pendant la phase de rénovation de Poudlard.
*Le chemin de Traverse, la lettre...*
Je posa mon éternelle tasse de café sur la petite table et farfouilla dans mon sac, à la recherche d'un bout de parchemin présentable et d'une plume encore efficace. Puis me cala confortablement dans le gros fauteuil, déboucha le petit encrier noir et commença à écrire.


Je fis tourner ma plume entre mes doigts, hésitant à rajouter une phrase.
*Bah, ce sera bien suffisant, le plus important est dit*
Je plia la lettre, y marquant «Mademoiselle Désier, Chemin de Traverse» avant de reboucher le flacon d'encre et de le ranger dans mon sac.
*Le plus important, tous le monde ne serais pas d'accord avec moi... Encore une fois je fais passer le Quidditch avant mes cours*
Cette pensée me fis sourire, et passant mes jambes élancées par dessus l'accoudoir, je me plongea dans mes pensées. Comme ce matin où j'étais partie disputer un match de Quidditch alors que je devais aller en classe. La maison était vide, tous étaient partis travailler. Pas moi bien sur. Je m'étais élancée hors de la maison, mes cheveux courts ébouriffés dans le vent. Je me vois encore courir, courir le long des chemins, courir le long des champs, courir rejoindre mes amis sorcier, coupant au milieu des herbes folles de l'air de jeu. Les autres étaient déjà là, pas question d'attendre plus longtemps, tous s'élancent, le match commence. La balle de cuir rouge qui passe sous moi. L'adversaire qui s'en saisit, qui se dirige vers les buts. Enserrant le manche de mes longs doigts agiles, je me laisse emporter par le vent. Slalome entre les arbres, évite les autres joueurs qui tentent de me couper la route, frôle les herbes dont les tiges chatouillent mes pieds nus. J'ai l'impression de revivre ses sensations, les nerfs à fleurs de peau, un frémissement alors que je remonte en chandelle vers la balle rouge, toujours tenue par l'équipe adverse, l'emporte dans mon élan, déstabilisant le concurrent. Un coup de rein et le balais change de direction. Là, si loin, l'anneau doré qui étincelle au soleil. J'étire le bras, le contact du cuir râpeux contre ma paume. La balle rouge jaillit, siffle aux oreilles des joueurs trop proches et passe avec aisance au centre du cercle.
Comment renoncer à une telle passion ? Après le poste de poursuiveur, on m'avait confié celui d'attrapeur, pour ma rapidité et ma dextérité, mais c'est lorsque j'avais eu ma première batte entre les mains que le Quidditch était devenu pour moi une nécessité.
Je me dégagea du fauteuil d'un mouvement alerte, saisissa la lettre et me dirigea vers la fenêtre. Ouvrant les battants, je glissa la tête à l’extérieur, siffla avant de voir apparaître un hibou au plumage sombre.
- Pour Garance Désier, chemin de Traverse. Pas la peine de te plaindre, c'est pas loin -oui oui je sais, tu préfères quand les lettres sont pour mon petit frère, mais là j'ai que toi et cette lettre est urgente, inutile de me regarder avec cet air, t'es pas un hibou exclusif ça va pas te tuer d'envoyer une lettre à quelqu'un d'autre- aller, va ! Et interdiction de lui pincer les doigts !
Je réprima un rire en fermant la fenêtre. Cet hibou avait intégré de manière exceptionnelle l'expression de son jeune maître lorsqu'il n'appréciait pas sa mission... Je repris place dans mon fauteuil et me plongea dans la lecture d'un manuel.

Précédée de ses préfets , Miss Diggory descendit au premier sous sol, et le premier préfet tapa sur le tonneau et expliqua aux nouveaux comment il fallait faire pour entrer dans la salle commune , et ce qui arrivait lorsqu'un étranger ou un élève ne tapait pas sur le bon tonneau ...
Certains premières années grimacèrent en entendant que le supplice était une douche de vinaigre.
La jeune Winonna sourit et entra dans la salle commune.Elle n'avait en rien changée , à part qu'elle était propre , évidemment.
Winonna décida de monter directement dans le dortoir pour s'installer.Elle partageait de nouveau sa chambre avec les mêmes camarades que l'année passée.La jeune poufsouffle posa sa valise sur son lit , et sorti ses affaires.Elle libéra , également , Tisamène de sa cage , et rangea son nouveau balai dans un placard.Elle se posa sur son lit en essayant de deviner ce qui allait se passer cette année.

-" Le futur est incertain , et change perpétuellement." murmura t'elle.

Winonna n'avait pas pût dire bonsoir à Serenna qui avait été embarquée dans les cachots lorsque les préfets rassemblaient leurs maisons.Tant pis , elle la verrait le lendemain matin dans la Grande Salle , et allaient s'échanger leurs impressions sur les nouveaux et sur cette première nuit de troisième année.La demoiselle se leva , et elle descendit du dortoir lorsque ses compagnes rejoignirent seulement leurs chambres.Certains garçons jouaient aux échecs dans la salle commune pendant que d'autres se racontaient leurs vacances.Les préfets avaient ouvert une bouteille de limonade , et souhaitèrent à tout le monde de passer une excellente scolarité au sein de Poufsouffle.C'était une de ces ambiances très amicales , comme les Poufsouffles savaient les faire. Qu'elle fierté de faire partie de cette maison ! La jeune Diggory , qui refusa poliment et avec un sourire , un verre de limonade ,  rejoignit une fenêtre , et s'appuya contre elle pour regarder le ciel et ses étoiles avant l'extinction des feux.

Ria était arrivée à Poudlard dans la journée, une journée banale en apparence mais un grand jour pour elle, le jour ou enfin elle entrait dans cette école, hélas avec 5 ans de retard. 5 ans dont elle préférait ne pas penser pour le moment.
Elle avait parlée à beaucoup de monde : d'abord la directrice qui avait été très accueillante, ensuite quelques préfets qui lui avaient expliqué le fonctionnement de l'école, et pour finir quelques élèves croisés dans la grande salle.

Maintenant elle est la, dans son dortoir, assise sur son lit en fixant cette valise posée à ses pieds qu'elle devait défaire. elle attendit une minute et se décida enfin a ranger ses affaires dans sa commode, dans ce qui serait sa chambre cette année. tout en rangeant elle laissait son regard errer dans cette pièce chaleureuse aux couleur de sa maison, sa nouvelle famille, Poufsouffle. elle s'y sentais déjà bien malgré son envie de retourner se réfugier chez son tuteur.
le rangement terminé elle se rassit sur son lit a baldaquin jaune et finit par sourire. elle murmura pour elle même :

<<J'y suis enfin maman, papa ... j'y suis enfin.>>

Ria versa une petite larme en pensant a ses défunt parents mais en garda son sourire et s'allongea pour s'assoupir doucement.

J'arrivais dans ma salle commune d'un pas pressé et balançais mon sac au pied du canapé avant de me laisser tomber comme une masse en pleurant. Après mon dérapage en métamorphose voilà que je me faisais encore remarquer auprès de miss Opale en sortilège. Décidément je faisais tout de travers et ça ne me plaisais pas du tout, bien sûr je n'avais aucune expérience de l'école mais ça n'excusait pas mes bavardages. Même si nous parlions du cour qui nous avait plu j'aurais du attendre de sortir de la classe pour en discuter avec Amy, malheureusement je ne l'avais compris qu'en en faisant l'erreur.

*Non mais vraiment ! Quelle idiote !*

J'essuyais mes larmes d'un geste rageur en fixant le feu sans vraiment le voir, pensant à mes erreurs et au moyen d'arranger les choses entre mon professeur et moi. Je ne voulais pas qu'il y ai une mauvaise entente entre nous et je devais commencer par aller dans son bureau comme elle nous l'avait demandé et je ferais de plates excuses dont j'espère qu'elle en tiendra compte.
Je finis par me calmer complètement et souffla avec un air triste :

-- Je commence bien l'année moi !

Plongée dans mes pensées je ne remarquais que maintenant Amy assise près de moi et son bras autour de mes épaules. je me leva d'un bon avec un ait désolé et apeuré en bafouillant des excuses :

- Amy ! Je ... Je suis désolée ... Je voulais pas ... j'auras pas du ... Quelle idiote !

Je me calma un peu en voyant ma camarade me regarder avec de grands yeux, ne comprenant rien à ce que je disais et je repris en respirant :

- je suis désolée de t'avoir mis dans le pétrin. J'aurais pas du te répondre en cour. Je ... Je comprendrais que tu ne veuille plus me parler.

je me baissais pour ramasser mon sac et commençais à rejoindre le dortoir avec une mine triste : je faisais n'importe quoi en cour et je perdais une super amie.

Alors que j'allais rejoindre mon dortoir dans l'idée de me cacher sous ma couette Amy me rattrapa et me surprit par ses paroles :

- Ca serait tellement bien si tu arrêtais de dire des bétises !
Tu est géniale et : ce-n'est-pas-ta-faute-si-on-s'est-fait-punir-en-sortilèges ! C'est la faute de deux personnes: toi, oui je sais et aussi Moi!
Nous deux ok ? Nous deux ! Et pas une seule personne !

*C'est elle qui est géniale à réagir comme ça. *

Amy continua de me regarder et comme je ne disais toujours rien, rajouta en me serrant contre elle :

- La faute elle n'est à aucune personne en particulier ! Elle est à nous deux ... A nous deux.
- Oui, tu as raison.

Me remettant à sourire, heureuse de ne pas être fâchée avec ma récente amie, je la serrais à mon tour contre mon cœur.

- Vraiment je suis contente d'avoir rencontrée quelqu'un d'aussi formidable que toi, Amy.

- Vraiment je suis contente d'avoir rencontrée quelqu'un d'aussi formidable que toi, Amy.
- Merci ... Toi aussi tu est formidable ! Argh ! Je ne sais jamais quoi répondre quand on me fait un compliment ... Ca me gène !

Nous nous lâchions avec le sourire et je rejoignais enfin mon dortoir pour ranger mon sac, Amy me suivit et s'asseyait sur mon lit. Elle avait soudain un air grave qui m'inquiéta un peu et je m'asseyais avec elle pour l'écouter.

- Dit ... Je peut te faire confiance ? Je peut te raconter mon histoire ? La version que je préfère . Enfin...C'est compliqué mais tu est tellement gentille avec moi que j'ai envie de ne pas te mentir sur mes centres d'intérêts, mes envies, passion, et ambition ! Et aussi ... En profiter pour te demander un conseil ...

*Qu'est ce qui se passe là ?*

Je la fis attendre une minute ou je réfléchissais à ce qu'elle venais de me dire et lui répondis avec un air tout aussi sérieux mais pas sûr de la situation.

-- Je suis contente que tu ai confiance en moi, et tu peux ! Mais tu es sûr de toi ? On ne se connais que depuis quelques jours ... Même si j'ai l'impression qu'on amies depuis plus longtemps.

Je lui pris la main puisque c'était à mon tour de la rassurer et attendis qu'elle prenne une décision, qu'elle me parle d'elle si elle le voulait vraiment, et je l'écouterais comme une amie que nous étions.