Le parc de Poudlard

Le parc de Poudlard

Le jeune homme continuait à courir pour rattraper la jeune Gryffondor, qui courait de plus en plus vite sans se retourner une seule fois, allant vers la maison d'Hagrid, pour fuir Jimmy. Le blondinet avait l'impression d'être un monstre auquel on essaye d’échapper, et le jeune homme se sentait vraiment fautif de la réaction de la jeune fille, il se dit qu'il n'aurait vraiment pas dû avoir ce geste, qu'il était vraiment stupide et regrettait amèrement.

Jimmy arrivait près de la cabane d'Hagrid, et voyait la blondinette tambouriner à sa porte, elle était comme terrifiée,. Il entendait ses cris de détresse en appelant le garde-chasse qui disait :

- Hagrid ! Pitié... Hagrid... Ouvrez pitié...

Puis elle jeta un rapide coup d'oeil au dessus de son épaule pour voir si le jeune homme arrivait, elle avait dû le voir arriver, car elle redoubla d'efforts pour taper à la porte, mais aucune fumée ne sortait de la cheminée, aucune lumière à l’intérieur, et aucun aboiement de Crocdur. Hagrid s'était sûrement absenté pour une quelconque raison, le poing serré contre la porte, la tête vers le bas, on aurait dit que la jeune femme était désemparée, Jimmy posa sa main sur son épaule, c'est alors qu'elle eut un petit sursaut et se retourna, le jeune homme lui dit :

- Je suis désolé Molly, je ne voulais pas te faire fuir. Je ne suis qu'un imbécile !

Quand la jeune fille vit le sang couler sur la tête de Jimmy, elle comprit qu'il s'était blessé en lui courant après et changea d'attitude, lui présenta ses excuses, en lui disant que ce n'est pas ça faute à lui, mais de la sienne, et lui prit la main pour s'occuper de lui au château. Molly l'emmena donc vers la bâtisse tout en lui expliquant, que s'ils allaient à l'infirmerie, des questions leur seraient posées et que par conséquent les WC des garçons seraient le meilleur endroit pour soigner ses blessures.

Les deux Gryffondor montèrent la pente qui amenait vers le château, et en chemin le cœur du cinquième année battait la chamade. Était-ce le fait que la jeune fille le tenait par la main ou alors d'avoir couru pour la rattraper ? Jimmy ne savait expliquer le pourquoi, tout ce qu'il pouvait en dire, c'est que Molly le laissait pas indifférent, mais il savait que s'il lui avouait, il risquait encore de la faire fuir, ce qui n'est pas son but. Il se dit donc qu'il fallait y aller en douceur, et qui sait peut-être que quelque chose pouvait se créer entre les deux jeunes gens ?

Au bout de quelques minutes, les deux rouges et or se faufilèrent discrètement dans les couloirs du château, pour enfin arriver devant la porte des toilettes des garçons.

Après avoir posé ma question je remarqua une forme de déception de la par de ma petite rebelle. Voulait elle que je l'embrasse afin de ce Serdaigle la laisse tranquille? Sans même avoir eu le temps d'avoir un débat entre mon cœur et ma raison, ma petite rebelle me répondis:

- On parlait de la popularité, les bons et les mauvais côtés...

Le Serdaigle enchaina:

- Hum... Oui... Et vaguement d'encrier aussi mais ça n'a pas d'importance.

Acquiescent de la tête, pour lui faire comprendre que je comprenais leur sujet de discutions, et avant que j'ai pu dire quoi que se soit le Serdaigle nous salua et repris ces affaires puis partis. Mes yeux me firent remarqué que ma chère et tendre rebelle c’était approchée de moi puis mordu les lèvres, enfin la lèvre inférieur, ce qui mis ma raison K.O et mon cœur bondit tellement haut et fort que l'attrapeur qui s’entrainait sur le terrain de Quidditch  a du le voir passer. je dis alors à ma petite rebelle:

- La popularité, hein, c'est très intéressant parce que justement  y a un gars, à Gryffondor, qui a trouvé quelque chose qui t'appartiens dans la salle commune de notre maison, et il ma demander de te le rendre.

Je voyais au dessus de la tête de ma petite rebelle un énorme point d’interrogation, comme dans les bandes dessinées. Je souris et l'embrassa tendrement une main sur sa joue si douce. L'euphorie de ce baiser me fis plein de frisson. J'esperai au fond de moi que ce soir, elle revienne dormir dans le creux de mes bras. Je continua ensuite:

- Ce ci dit la popularité est plus contraignante qu'autre chose, on se fait demander, accoster ou pire encore draguer et cela peut importe le vie priver que l'on peut avoir. C'est que, ça peut être dérangeant, ne trouves tu pas ?

Ma boutade pour l'embrasser semble lui avoir plus ou u moins pas déplus. La fin de l’après midi se fis sentir. Ma petite rebelle leva ces jolie yeux pour regarder le ciel et rassembla ces affaires puis en se tournant vers moi me dis:

- Il serait peut-être temps que nous rentrions, j'ai un devoir à travailler et en plus je commence à avoir un peu froid.

Je la regarda, de la où j’étais je la voyais avec le coucher du soleil en arrière plan et un petit peu de vent dans ces cheveux. Soudain comme une révélation ces derniers mots retentir dans ma tête " je commence à avoir un peu froid " Je me leva donc, l’enveloppa dans ma cape puis l'embrassa de nouveau. Ma raison n'avais toujours pas repris ces esprits après le K.O que les lèvres de ma petite rebelle lui avaient fais. Je lui dis en lui mettant ma grande cape sur les épaules.

- Tien, met sa sur tes épaules, tu auras moins froid.

Nous partîmes ensuite en directions du château main dans la main dans le soleil couchant.

FIN DE RP

RP UNIQUE !!!!

L'heure de midi, moment où j'aime me promener dans le parc du château. Le ciel était dégagé et le soleil était au rendez vous. Alors que je marchais tranquillement tout en regardant la beauté du château, je vis un oiseau venir en ma direction. L'oiseau approchait et je distinguais qu'il tenais quelque chose dans ses pattes. * surement un hiboux envoyer par un élève * cela était fréquent à Poudlard. je fut intrigué par cet oiseau car j'avais l'impression qu'il venait vers moi. Mon impression était juste, à l'approche du volatile je reconnus mon petit Glen qui semblait à bout de souffle. Il fit un premier passage durant le lequel il me largua un paquet et une lettre puis revins se poser sur mon épaule pour me faire des joies.

- Doucement mon ami, tien voila pour toi.

Je lui donna plusieurs miam-hiboux.

- Merci pour cette course exceptionnelle, tu as fais bon voyage ?

Glen me répondit d'un roucoulement et pencha la tête en avant comme pour dire oui. Je mis le paquet dans ma poche et ouvris la lettre:

Chère Cody,

Je suis content d'avoir de tes nouvelles et de savoir que tu vas bien. Je t'ai préparé ce que tu m'as demandé mais attention a qui tu le donnes cela pourrai te mettre en danger. Toute fois je ne sais pas si cela fonctionne durant "les nuits " alors tien moi au courant et surtout prend soin de toi et fais attention a toi.

Roger

PS: N'oublie pas de prendre ta potion, je t'en ai mis un bonne quantité avec le paquet que tu m'as demandé.

je referma la lettre puis la rangea avec le paquet. * Je verrais ça plus tard, j'ai rendez vous avec ma petite rebelle * Je renvoya Glen dans sa volière et pris le chemin du château.

Je me baladais avec ma petite rebelle dans le parc. je la tenais par la main, le sourire aux lèvres. Nous venions de passer un moment unique * La vie est belle * Cette pensée était euphorique. Ma petite rebelle souriait, ses jolie cheveux se soulevaient au rythme du vent qui courait entre les mèches. Son visage respirait le bonheur, un tel tableau me fis sourire de plus belle. Je portais le panier de pique-nique qu'elle avait remplis abondement. * Vu le poids qu'il fait, il doit y avoir de quoi nourrir une dizaine d’équipes de Quidditch * Je nous dirigea vers un carré de pelouse a coté du lac, le château d'un coté et la foret interdite de l'autre. Je me tourna vers ma belle et tendre et lui dit:

- cet endroit me semble parfait pour un pique-nique en amoureux qu'en dis tu ?



Cody ff3300

Caractères : 612

Alors que nous mangions, ma petite rebelle se tourna vers la foret interdite puis me regarda et me dis:

- J'ai entendu parler de se qu'il s'est passé l'année dernière... ce professeur qui a été tué dans la forêt... ça fait froid dans le dos cette histoire... mon père n'a rien voulu me dire mais si j'ai bien compris, un groupe de sorciers malveillants agiraient à la façon des Mangemorts de Tu-Sais-Qui à la grande époque... Je me demande comment ils se sont alliés... Tu en penses quoi de tout ça toi?

Ce que j'en pense, c'est une bonne question, je lui repondis donc:

- Les mangemort de Voldemort ce sont peu etre unient pour achever l'oeuvre de leur defunt chef. Ceci dis ma famille ne manquera pas de les rallier a la premiere occasion j'en suis sur. Nous sommes des sang pur, ma tante c'est mariée avec un Malfoy, ce qui ne va pas arranger les choses. enfin je pense.

J'etais songeur en disant cela car je n'avais eu de contacte reelle avec ma famille depuis bien longtemps je repris:

- De toute façons je n'ai plus contacte avec eux et je m'en porte tres bien, tu savais que j'etais meme le premier de la famille a etre a Gryffondor. Ma mere est devenue folle de rage en  sachant cela. Depuis ce jour je suis un peu le paria de la famille. et toi tu en pense quoi ? Tu pense que ton pere est la pour proteger le chateau ?

Elizabeth avait peut être raison au sujet de la présence de son père au château.

- il y a la coupe des  quatre maisons, c'est un concours entre les quatre maisons qui a lieu tout les ans, ce qui oblige les élèves a faire de leur mieux pendant toute l’année.  C'est un peu un genre de prestige qui met en avants le fais que tel ou tel maison ai eu les meilleurs élèves. Par exemple  l’année dernière c'est la maison Serdaigle qui a gagner la coupe. Ma famille a toujours été à Serpentard c'est pour eux une fierté et un honneur car Salazar Serpentard était de sang pur et voulais que le château soit ouvert qu'au sang pur. Cela a créer un conflit entre Salazar et Godric. Voldemort a marcher dans les pas de Salazar et son ennemis juré Harry Potter, qui ce dit en passant aurai pu aller a Serpentard, était a Gryffondor. La guerre qui suivie entre Harry et Voldemort fus terrible mais tous ça est écris dans les livres d'histoire du château.

Finissant un sandwich je regarda ma dulcinée et repris:

- En tout cas, si nous  nous faisons attaqué, je te promet qu'il ne t’arrivera rien.  J'ai de nombreux amis autour du château et dans le château.

Je lui sourie en lui caressant son doux visage sans lâcher son regard des yeux.