Le parc de Poudlard

- Parle-moi de ta famille...


Cette phrase résonnait dans ma tête, frapper d'un mal aise, je repris consistance et répondis:

- je ne tien pas a aborder le sujet, pas pour le moment. note juste que j'en veux a mes parents de ce qu'ils m'ont fais.

Ces paroles n’était pas des plus tendre et pour  éviter de mettre mal a l'aise  ma petite rebelle  je lui sourie et tendis mes bras  pour lui faire un gros câlin. Le temps c’était rafraichie et le parc se vidait petit a petit, il ne resterai bientôt plus que nous et  une équipe de quiddich que l'on pouvait voir sur le terrain entrain de s’entrainer Les yeux de ma chère et tendre petite rebelle étaient magnifique le vert brillait doublement vert car la bague se reflétait dans ces yeux. A ce moment un grand duc blanc vola vers nous, je le reconnus c’était Glenn, ce n’était pas son habitude de me rejoindre comme ça.  Je ne fis pas attention a son intervention et lui donna un bout de pain qui se trouvait dans notre panier.

- je te présente Glen, mon grand duc blanc, c'est mon facteur et ami fidèle sauf quand j’essaye de le transformer avec un sort. 

Je rigola en regardant ma belle et tendre puis continua:

- Il est beau, c'est lui qui ma choisi, il m'a sauver la vie mais c'est une longue histoire.

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- En plus, ce soir c'est la pleine lune, autant te dire qu'avec les rumeurs qui cours sur la forêt qui entoure le château, je ne suis pas très à mon aise de rester dehors ce soir précis!

Ce soir c'est la pleine lune ... J'avais oublié ce detail ce qui explique la venue de Glen. Je regarda ma petite rebelle et lui dis precipitement:

- Mon amour  laisse ça la ! Va au chateau et va dans notre dortoir ou meme dans le bureau de ton pere ! Mais promet moi d'y rester toute la nuit. On se reverra demain.

Sur ces mots je m'etais levé et j'avais attraper ma douce et tendre par le bras pour la levé à son tour. Je la tourna vers le chateau et en la poussant legerement, je repris:

- Surtout je t'en pris fais moi confiance et ne me suis pas. Je t'enverrai Glen demain pour que l'on se retrouve.

Commencant a partir dans la direction opposé a celle du chateau je me retourna et regardant ses yeux remplie de questionnement je lui dis:

- Je t'aime Elizabeth

Puis je partis en courant en direction de la foret interdite coller de pret par Glen, il etait trop tard pour que je rejoigne la cabane hurlante. * La meute pourra m'aider à passer la nuit * Je disparu
dans la foret interdite sans me retourner.


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Je regardais le château au loin. Nous étions avec Kalis dans le parc, suivant le chemin qui nous amènerait à l'intérieur de l'école. Mes yeux descendaient sur moi. J'étais... Normal. Un jeune de 16 ans, qui aurait passé inaperçu dans n'importe quel lycée. Tout mes vêtements arborant le blason de Serpentard avaient étés remis dans mon sac. En tant que "nouvel" élève, je ne pouvais me permettre de les garder sur moi. Mais je n'avais pas pu les détruire non plus. Ils représentaient trop pour moi. Mon regard se portait ensuite sur Kalis, debout à coté de moi, qui me regardait en souriant. Puis me yeux revenaient se poser sur les murs de pierre en face de nous. Une partie de moi voulait juste s'enfuir en courant, et l'autre désirait juste aller s'assoir devant la cheminée de la salle commune. Je prenais une grande inspiration et lançais à Kalis :


- Allons y.

Je m'avançais une nouvelle fois vers une partie inconnue de ma vie. Avais-je fais le bon choix en revenant ici ? J'allais vite le savoir.


Je m'arrêtais brusquement après quelques et me tournais vers le Vert et Argent qui m'accompagnais.

- Est-ce que ça a beaucoup changé là dedans ?

Je regardais Kalis avec attention. Il venait de rire comme si il avait dit une bêtise mais c'était tout le contraire.

-Kalis, t'es un génie mec. C'est exactement ce qu'il manquait pour que le plan soit parfait. Parce que là, je ne suis plus un nouvel élève qui sort de nulle par; je suis le cousin d'un élève déjà inscrit ! Et ça change tout ! Parce que du coup, personne ne serra surpris si on se connait déjà, et puis ça évite d'avoir à inventer une famille ! Enfin... Même si je connais pas ta famille...
Ça ne peut qu'être plus calme ! Parce qu'entre les meurtres, les centaures et le braquage, l'année dernière a été... mouvementée. Le seul moyen de faire plus serait de déclencher une guerre...
De nouveaux profs tu dis ? Ne les faisons pas attendre dans ce cas. J'ai hâte de confronter la théorie d'un cours avec ce que j'ai appris sur le terrain.

Je marchais en direction du château, désormais décidé à découvrir ce nouveau pan de ma vie. Le plus dur restait à faire, c'est à dire convaincre la direction que j'étais quelqu'un d'autre et que je méritais d'être pris en cour d'année. Et j'essayerai de récupérer mon poste dans l'équipe de Quidditch aussi. Même si les matchs étaient aussi tranquilles qu'un combat de boxe avec ours, l'adrénaline et les sensations produites étaient vraiment trop additives pour s'en passer. Tout ceci me faisait sourire. Je n'avais pas réalisé à quel point Poudlard m'avait manqué.

Il faisait particulièrement beau à l'extérieur. Après les cours, la préfète était venue se détendre au soleil. Elle s'était installée sur l'herbe du parc pour dessiner sur son carnet vert préféré. Le cadre était idyllique : les oiseaux chantaient, le ciel était bien bleu et le soleil brillait.

Winonna Diggory entendait les rires de ses camarades non loin d'elle, qui se racontaient des histoires drôles. La jeune fille souri et continua à colorier sur les belles pages ocres du carnet. Le grand chêne était son modèle. Cela faisait longtemps que la jeune femme n'avait pas touché à ses crayons de couleurs.

La fin de l'année approchait à grands pas. La préfète appréciait la vie au château mais partir à l'aventure dans les forêts vers Loutry lui manquait. Sa famille lui manquait aussi, heureusement que les hiboux existaient !  

Je profitais d'une aprèm midi assez ensoleillée pour aller tenter de retrouver mon corbeau. Comme à son habitude la sale bête était parti où bon lui semblait. Je décidais donc d'aller voir en premier lieu ma chouette Augen, que j'étais sûr de trouver à la volière. La hulotte qui attendait sagement dans sa cage commença à s'agiter dès que je sortais des escaliers. Je la prenais sur mon poignet et la caressait un petit peu, mais constatant que je n'avais aucune lettre à lui remettre, elle en profita pour m'envoyer un coup de bec sur la main. Ne pouvant pas réellement la disputer pour si peu, je lui donnais trois miam hibou avant de la laisser s'envoler pour faire un tour et de moi-même repartir dans le parc, à la recherche de l'autre volatile. J'allais m'assoir au pied d'un arbre, et posais d'autres friandises à coté de moi. Connaissant Benzin, il n'allait pas tarder à arriver.

Il se posa à coté de moi à peine quelques minutes plus tard. Il s'approcha à grands bonds, prit les biscuits en trois coups de becs sans se laisser attraper et repartit d'où il venait. Je repartais donc, dépité mais aussi intrigué. L'oiseau semblait se plaire outre mesure dans la forêt, et son comportement était changé... J'allais chercher mon balai et allais faire des figures sur le terrain de vol. J'avais toujours aimé voler, mais depuis les événements du précédent été qui m'avaient forcé à être pratiquement constamment en mouvement, mon balai était devenu essentiel à ma survie. Et j'étais ainsi devenu presque accro. Cette liberté, le vent qui hurlait à mes oreilles, le ciel dégagé pour seule limite... Comment ne pas y résister ?

Après deux heures j'en eus assez de tourner en rond et je retournais à l'arbre où je m'étais installé plus tôt. J'avais un peu la flemme de marcher, alors même si ce n'était pas trop autorisé j'y allais sur mon balai. Une fois arrivé je m'appuyais contre le tronc et regardais autour de moi. Il n'y avait pas grand monde... Surement que la plupart des élèves devaient travailler dans leur salle commune ou dans la grande salle. Le vent se mit à souffler légèrement, faisant onduler les herbes les plus hautes et vibrer les feuilles des arbres du parc. Le soleil pointait même le bout de ses rayons, qui allaient se refléter sur l'immense miroir qu'était le lac, et j'aurais pu rester des années assis là sans rien faire car tout était étrangement merveilleusement beau alors que pourtant je connaissais tout cela.

Je finissais tout de même par me demander quoi faire. Dessiner ? Non, mes qualités dans ce domaine étaient loin de satisfaire mes envies, et je savais que je finirais forcément par m'énerver si je commençais à gribouiller sur une feuille. Faire un tour en balai ? J'en avais déjà fais juste avant. Et comme je n'avais rien à démonter à part ma montre, j'excluais également cette possibilité. Étant de plus en plus à court d'options, je prenais une brindille tombée au sol et jouais avec avant d'voir une idée de génie : je récupérais une branche plus grande et avec encore des feuilles dessus. En un coup de baguette la branche se transformait en une guitare sèche. Je prenais encore un peu de temps pour l'accorder correctement avant de jouer quelques notes. Cela faisait plusieurs années que je n'avais pas touché une guitare, mais je me rassurais en me disant que c'était comme le vélo, qu'on ne pouvais jamais vraiment l'oublier. Après quelques minutes les accords d'une chanson que j'avais appris me revinrent en mémoire -ou revinrent en mémoire à mes doigts plutôt-.

Je m'arrêtais quelques instants pour donner les derniers miam hibou que j'avais pris à Augen, car elle venait de rentrer de sa balade et s'était posée dans l'herbe, à coté de mon balai, à moins d'un mètre de moi. Je me disais qu'il serait intéressant de voir avec le professeur de sortilèges comment enchanter une guitare électrique afin qu'elle fonctionne dans le monde sorcier, sans pour autant avoir à en acheter une spécialement pour y jouer dans certaines zones sans technologie. Mes yeux se posaient une dernière fois sur la forêt, me demandant ce que pouvait donc bien faire ce damné corbeau pour toujours y vagabonder.

Agacée par l'ambiance studieuse qui régnait dans tout Poudlard à l'approche des examens, Dorea était sortie dès la fin de son repas dans le parc. Une Serdaigle agacée par une ambiance studieuse, ça paraissait incongru, mais ce que la brune détestait surtout, c'était que tout ses imbéciles qui s'étaient moqués d'elle toute l'année avec leurs "intello" se retrouvaient maintenant à paniquer à un mois des examens. Elle n'avait, pour sa part, jamais été plus détendue. Parfaitement prête, comme toujours... Trop de choses étaient "parfaites" à Poudlard, au point que ça en devenait très dèsagréable. Les gens recherchaient la perfection, et, selon la jeune Serdaigle, ne parvenaient qu'à se vautrer dans le pathétisme, elle s'inculait plutôt deux fois qu'une dans ce constat. 
Le directeur, Peverell, recherchait aussi la perfection chez ses élèves, et pour lui, le seul moyen d'y parvenir avait été de mettre au point un règlement aussi stupide qu'agaçant. Lors de la dernière grande guerre, le Seigneur des Ténèbres recherchait aussi cette "perfection". Celà n'amenait que des ennuis.

Dorea soupira. Elle ne voulait plus rechercher cette perfection, aujourd'hui. C'était vain, elle le savait. Le chemin de terre la conduisit près d'un arbre, non loin du lac. L'aiglonne ne s'était pas beaucoup chargée, sachant parfaitement ce qu'elle comptait faire. Elle prit un peu de hauteur en escaladant l'arbre jusqu'à être à quelques mètres du sol, puis sortit son calepin et un crayon de bois. Voilà longtemps qu'elle n'avait plus dessiné. En face d'elle s'étendait le lac, immense, sur lequel se reflétaient les montagnes, et un petit bout de terrain de Quidditch. Le soleil, qui entamait juste sa longue descente dans le ciel, ajoutait un peu de lumière et de chaleur à cette ensemble gris montagne et vert forêt. C'était, fidèle à Poudlard après tout, parfaitement magnifique. Mais cela n'inspirait pas Dorea aujourd'hui. Elle était d'humeur nostalgique, semblait-il. Son crayon, posé sur le papier, commença à courir. Il faisait de longs détour pour arriver à son objectif. N'étant pas superstitieuse, la Serdaigle avait parfois du mal à croire les cours de Divinations, mais dans le domaine du dessin elle y croyait. Elle laissait sa main tracer des lignes et des traits sur le papier, et ne s'apercevait du résultat qu'une fois le dessin achevé. Pendant les vacances d'été, elle avait même dessinée Bryan, les yeux fermés, alors qu'elle ne le connaissait pas encore.

Sentant qu'elle avait jeté son dernier coup de crayon, Dorea ferma le calepin. Elle voulait profiter de l'instant avant de découvrir le résultat. C'était probablement un visage, car elle ne dessinait quasiment que ça, surtout sans y réfléchir. Mais elle ne voulait pas le voir et tout gacher. Pourquoi ne pas profiter du payasage, plutôt ?  Le soleil avait tourné, la lumière était plus orangée maintenant, plongeant le parc dans une ambiance particulière. Il devait être vers cinq heures. Le soleil n'acheverait sa course que dans cinq autres heures, à cette saison. Il réchauffait encore suffisament la peau de la jeune fille pour qu'elle s'allonge à la façon d'un paresseux sur sa branche. Le très léger vent la berçait, et résonnait dans sa tête une mélodie lointaine. Le temps qu'elle comprenne que la musique n'était pas que dans sa tête, elle avait déjà cessé. Intriguée, la Serdaigle descendit de son perchoir, restant prudente. Quelques mètres en dessous de sa précédente position, se trouvait un Serpentard, nourrissant une chouette. Ça ne faisait pas longtemps que la brune pouvait différencier une chouette d'un hibou, mais elle était contente de l'avoir appris. Ne souhaitant pas faire  peur au vert et argent, elle marcha sur une branche, avant de l'interpeller : 


-Salut... Belle journée à passer dehors ? 

Par belle après midi de printemps, je regardais le ciel allonger dans l'herbe verte du parc une main sous la tête et l'autre sur mon ventre. Tout en cherchant des formes dans les nuages, je pensais a ma chère et tendre que je n'avais pas vu depuis un moment. Une légère brise de vent venais caresser mon visage, ce qui rendais la chaleur du soleil agréable. Je souris, un nuage me faisait penser a un balais de l’équipe de quiddich alors qu'il n'en avait pas la forme, même de loin. Je ne faisais plus attention au autre élèves qui étaient présent dans le parc, j'étais ailleurs, plongé dans mes pensées:

* Anton m'a confirmé que c’était en Roumanie que le compte Vlad avais vécus je vais devoir commencer mes recherches la bas. Les loups garou ont mené une guerre contre lui, il reste peut être des indices ou des gens qui sauront me dire d’où venais ces loups ... *

Il faisait beau, Blizz mangeait ces cerises sur mon épaule, en sommes tout était normal ... a un détail prés j'avais besoin d'aide et j'avais choisi une personne assé inattendu pour m'aider. marchant d'un pas précipiter dans le parc a la recherche de mon aide, je ne pouvais m’empêcher de penser a ce qui avais interrompu mon cour préfère. ce " au mon dieu" que la prof avais dit puis ce départ. tout cela était louche, soudain je trouva la personne dont j'avais besoin, elle était allonger la dans l'herbe une main sous sa tête et l'autre sur son ventre regardant le ciel. 

- Cody ! Cody ! 

Je assis a coté de lui sans même attendre d'invitation et repris:

- Cody, j'ai besoin de toi !  Je sais que toi et moi c'est pas le grand amour mais la c'est important ! 

Je sortis le mot que j'avais dérober dans la salle de cour et le lui flanqua dans le visage pour qu'il le vois.

- regarde

RP a ete modifier avec les elements convenue avec Arfanas


- regarde ! me lança le Serpentard

Je ne comprenais pas du tout ce qui se passait, je vis ma petite rebelle arrivé vers nous. Quand elle fut a notre niveau elle me dit:

- Je ne fais que passer, j'allais me baladé près du lac, on se voit ce soir... tu sais où?

Sur ces mots, elle continua sa route en m'adressant un sourire charmeur sur lequel je pu lire un " je t'aime ". Je me tourna vers Arfanas attrapa son bout de parchemin et lu ce qu'il y avait écris.

La douceur de la nuit les a emportés... Rejoignez-nous au plus vite au ministère!

Je le regarda d'un air d’incompréhension et lui demanda:

- Heu, oui ... qu'es ce que c'est que ce parchemin ? et pourquoi tu me le montre a moi et pas au directeur ou a un professeur ?

Le jeune Arfanas semblait a la fois révolter et apeuré. Je ne savais pas de quoi il en retournait mais ça avais l'air grave... Je repris:

- Vu que le sujet a l'air de t'inquieter autant je vais me renseigner aupres de gens qui serai susceptible de donner des reponses.

Nous nous levames et partames en direction du chateau, le petit Arfanas me bombardais de question au sujet de mes contactes mystere et s'indignais de la fin subite des cour des sa matiere preferer.