La table des Serdaigle

Elle hocha la tête, elle trouvai ce règlement tout de même un peu dur. interdire les marques d'affection...tout de meme ça allait un peu loin.Affction...parlait il d'amour ou d'amitié?
Enfin.
Elle avait rejoint la table des Serdaigles tandis que quelque un  l'acclamait elle leur sourit et s'assit. Les plas apparurent .Miam

Note de l'administration:

Des flots d'élèves se répendaient dans les étages alors que les cloches du château sonnaient midi.
Evitant le troisième étage, où une grève avait commencé à s'organiser parmis les portes, je descendis les escaliers et fit glisser mon sac de mon épaule, avant de le traîner derrière moi par la bandoulière. Je passait les portes de la Grande Salle bondée, remplie d'élèves discutant et riant, impatients de se remplir l'estomac. Toutefois, ils ne l'étaient probablement autant que moi ! Je mourrai de faim depuis une demi-heure et mes neurone s'étaient perdus je ne savais trop où dans mon ventre. Par pure association d'idées, je songeai qu'il y avait autant de neurones dans l'intestin que dans le cerveau, ce qui était totalement inninteressant.
Je repérai ma compagne de dortoir et me laissai tomber sur le banc à côté d'elle, lâchant d'une voix morne :


"Doréa, j'ai faiiiiiiim... me reprenant, j'ajoutai : bons cours ?"


Puis, je me jettai sur les plats qui venaient d'aparaitre, remplissant mon assiette de purrée de navets et de gigot. Je parcourait la table du regard, quand je m'aperçut qu'il manquait une fille de notre dortoir, Flora Machin. Je n'avais jamais réussi à retenir son nom de famille, mais de toute façon, nous ne nous étions jamais fréquentées. Malgré tout, nous la croisions tous les jours au déjeuner, il était rare qu'elle le rate.

"Elle est pas, là, Flora ?"

Je réalisai alors que nous avions deux cours en commun le mardi matin, et que je ne l'avais vue dans aucun des deux. Sans paniquer pour autant, je sentit une légère inquiétude monter en moi. Où était-elle donc ?

N'étant pas concernée par une des options que proposaient le collège, Dorea avait eu le temps de s'installer à la table des bleus avant que ce ne soit la cohue. Elle était en train de se servir de carottes quand Marlène qui avait vraisemblablement pris l'option vient s'assoir à côté d'elle


- Oui, enfin c'est des cours quoi ! 

La plus mexicaine des deux fit un sourire à sa camarade avant de lui tendre le plat du jour :  poulet rôti, pommes de terres sauté et petits légumes, espérant que ça suffise à faire taire le grondement de son ventre. 
Lorsque Marlène commença à parler de Flora, Dorea fronça les sourcils. Elle n l'aimait pas beaucoup, cette fille là. Mais il est vrai qu'en y réfléchissant, la brune ne se souvenait pas avoir croisé le visage de sa camarade aujourd'hui.


-Visiblement non... Elle s'est peut-être planté son maquillage dans l'œil et a dû aller à l'infirmerie.

Elle fir un sourire grimaçant, et eu assez rapidement honte de ce qu'elle avait dit : 


-Je blague, hein !  J'espère qu'il ne lui est rien arrivé.

Je sourit à mon amie qui venait de remplir mon assiette et m'employai à dévorer son contenu avec appétit. J'écoutai d'une oreille distraite Doréa répondre à ma question.



“Visiblement non... Elle s'est peut-être planté son maquillage dans l'œil et a dû aller à l'infirmerie. Je lui jetai un regard surpris. Je blague, hein !  J'espère qu'il ne lui est rien arrivé. Ajouta-t-elle aussitôt.”
Je réfléchis. Visiblement, Doréa et cette fille semblaient avoir des différents. Je ne l’apreciait pas particulièrement, aussi je rit.

“On ne va pas médire d'elle, mais… enfin, c'est Flora.”

Je froncai les sourcils.

“N'empêche, c'est bizarre. On ira la chercher, après manger ?”

En parlant de ça… Je reportai provisoirement mon attention sur la table, cherchant du regard des tartelettes pour mon dessert.

hrp:

Dorea n'était pas franchement heureuse. Jouer aux super-héros pour une idiote telle que Flora? Non mais franchement... Mais après réflexion, la jeune fille changea un peu d'avis. Savoir que la blondinette lui serai redevable était une vengeance en elle-même, une vengeance douce. Sa camarade Serdaigle en serait plutôt humiliée. Alors, Dorea releva la tête et sourit:

-Pas de problème, je finis mon Cake et on y va quand tu veux!

Flora avait toujours eu besoin de protecteurs et d'amis l'entourant. Seule, elle n'était rien du tout, et d'ici Dorea apercevait la bande de Serdaigle, sans Flora. Elle était probablement malade, mais quelque chose soufflait à Dorea que c'était plus que ça.
Elle engouffra sa dernière bouchée, puis rassembla ses couverts en une petite pile, habitude qu'elle avait gardée de l'époque ou elle vivait chez ses parents.

Je dévore une tartelette à la framboise (miam !) et en glisse deux dans mon sac, soigneusement emballées. Dorea doit me prendre pour une morfale. En même temps, j'en suis une. Je me lève et jette mon sac sur mon épaule, avant de lancer à mon amie :

"Allez, on y va."

Nous sortons de la Grande Salle et nous retrouvons au pied des escaliers. Je me tourne vers Dorea :

"J'ai une idée : On se sépare : Je m'occupe de l'aile Ouest et toi de l'aile Est. On va vérifier les tours, et on se retrouve ici pour aller voir dans les cachots. Ça te va ?"

Bizarrement, le fait de parler des recherches les rends plus réelles. Ce qui fait que je commence vraiment à m'inquièter. Certes, Dorea n'aime pas Flora et Dorea est ma meilleure amie, mais l'absence de cette, que je n'ai pourtant jamais fréquentée, me trouble.

"Enfin, si tu as une autre idée, je t'écoutes."

suite du RP:

Je parcourus la moitié du château, en long en large et en travers. Evidement, l'autre nouille n'était nulle part. Je soupire, agacée. Et en plus, ce foutu chevalier du Catogan qui a essayé de m'aider, j'ai galéré encore plus.
Je redescendis, m'assis sur les premières marches de l'escalier et réfléchis. Flora était donc dans l'aile Est, ou dans les cachots. Ou alors, il y avait des endroits du château qu'on avait pas pensé à fouiller. Je frissonnai en repensant à la forêt interdite. Pas question d'y retourner ! La seule et unique où j'y était entrée, ça avait été une expérience tout bonnement horrible. Il y avait une autre possibilité, que je me refusai pour le moment d'évoquer. Pour me concentrer sur autre chose que mon inquiétude, je tressai une fine mèche de mes cheveux, en prenant mon temps. Quand j'aperçus Dorea, je lui sautai presque dessus :

"Alors ? Tu l'as trouvée ?"

Le couloir du deuxième étage de l'aile Est avait été inondé par cet imbécile de Peeves. Résultat, Dorea était maintenant trempée jusqu'aux os, et sacrément remontée contre les fantômes farceurs, les Serdaigles prétentieuses, et même contre les concierges fouineurs, sachant que celui de Poudlard l'avait retenue pour "avoir contribué à la dégradation d'un matériel gracieusement entretenu par du pauvres personnels".

Enfin arrivée au point de rendez-vous, Dorea comprit bien vite que Marlène était arrivée longtemps avant elle. La brunette était trempée, frigorifiée et en colère.


-Aucunes traces de cette idiote! On fait quoi maintenant ?

Franchement, quitte à disparaître, cette petite poufiasse ne pouvait pas le faire dans un endroit simple et accessible facilement?