BIENVENUE JEUNE SORCIER, PREPARE-TOI, LE MONDE S'ASSOMBRIT, ET UNE NOUVELLE MENACE NOUS GUETTE... |
| | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Sam 6 Sep - 14:01 | |
| Après avoir servit le verre d'eau à la jeune fille avec un sourire en coin, se doutant qu'elle aurait voulut autre chose à sa tête, Diagon partit s'occuper de la nouvelle arrivante.
- Bonjour mademoiselle. Alors voyons voir... J'en ai une de libre pour deux jours.
Tout en se tournant vers les clés, il observait les clients d'un regard perçant. S'il y avait bien une chose que l'on ne tolérait pas dans cet établissement, c'était le vol. Diagon prit une clé et se tourna à nouveau vers la demoiselle en posant l'objet devant elle.
- Chambre 22, au deuxième étage. Cela vous va t-il?
Pendant que la jeune fille réfléchissait, en attendant sa réponse, Diagon partit rapidement s'occuper de la jeune fille au verre d'eau. Celle-ci la paya et partit, le regard triste. Mais Diagon n'eut pas le temps de s'en soucier qu'il entendit Tom aux cuisines commencer à grogner des insultes après un bruit fracassant. Diagon ne put qu'exploser de rire, vérifiant qu'il n'avait rien par l'ouverture où l'on passait les commandes. Tom venait encore de se bruler. Sacré numéro. C'est à moitié hilare que Diagon revint vers la jeune fille qui venait de lui demander une chambre. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Sam 6 Sep - 15:18 | |
| *Jusqu'au 6 ça fait deux jours,... j'ai du me planter dans les jours, plutôt jusqu'au sept alors... Bon, je verrai ça plus tard, faut que j'aille au plus vite à la banque* Je vis le jeune homme revenir, un grand sourire sur le visage après être aller aux cuisines voir ce qui s'y passait. - Chambre 22, nickel Je remercia le jeune homme, saisit la clé qu'il me tendait et empoigna mes bagages afin de les installer dans ma nouvelle chambre. La boule de plume noire avait filé dès que j'avais annoncé que je prenais bien la chambre et c'est donc seule que j'escalada les escaliers. |
| | | Myosotis Chrysopelea Eleve Serpentard
Feuille personnage : | Sujet: Re: le chaudron baveur Sam 6 Sep - 19:09 | |
| Myosotis venait de passer une journée plus que fatigante. Le matin même, elle était arrivée en train à Londres après avoir été chez elle pour quelques jours. Elle n’avait toujours pas eu des nouvelles de Nymphéa et Clément et s’était juré de leur écrire avant la fin des vacances. Se retrouver seule dans cette grande maison de campagne où elle était habituée à voir sa tante et le mari de cette dernière lui avait donné une étrange impression… Et si un malheur leur était arrivé ? Préférant ne pas s’attarder sur leur absence, Myosotis avait été rendre visite à son voisin; Le professeur Abramovitch. La noiraude lui avait raconté son année scolaire dans les moindres détails, au plus grand plaisir du vieillard. Depuis qu’elle était arrivée sur le chemin de Traverse, elle n’avait pas arrêté de courir d’un magasin à l’autre sans s’arrêter, croisant de temps à autre des personnes qu’elle connaissait bien. Maintenant, elle avait fini de faire toutes ses courses et était bien décidée à écrire une lettre à sa tante. Assise face à un parchemin vierge, sa plume de Jobarbille dans sa main droite, elle ne savait absolument pas comment commencer sa lettre. Essayant de faire le vide dans sa tête, les discussions des autres clients du bar n’étaient plus que de simple bourdonnement aux oreilles de Myosotis. Fixant un point imaginaire, elle regardait sans le voir le papier vierge posé sur la table devant elle.
Flash-Back.
Myosotis venait de quitter la gare de Londres et se dirigeait vers le Chaudron Baveur. La matinée était fraîche et le soleil commençait à faire son apparition derrière les hauts immeubles. Il devait être environ dix heures du matin. Après avoir confié sa lourde valise à un jeune homme qui semblait être le nouveau serveur du bar, elle partit dans l’arrière cours. Elle connaissait le chemin pour l’avoir déjà emprunté une année auparavant. Elle tapota à trois reprises le bout de sa baguette sur l’une des nombreuses briques de pierre qui se trouvaient face à elle et un passage se forma dans le mur. Après avoir franchit l’arcade et entendu le mur se refermer derrière elle, Myosotis observa le long chemin qui s’étendait face à elle. Les magasins avaient déjà ouvert leur porte depuis maintenant une heure. Les premiers clients courraient déjà d’un magasin à l’autre, se dépêchant de faire leur courses avant que la rue ne soit bondée. Divers panneau indiquaient les différentes actions et les rabais qu’accordaient chaque magasin. Un troupeau de jeune fille gloussait devant une vitrine, un chat courrait après une souris, un enfant pleurait car sa mère ne lui avait pas acheté les bonbons qu’il désirait, un commerçant criait contre une harpie qui avait fait tomber une étagère contenant de la marchandise et au loin, les cloches d’une quelconque église sonnaient l’heure. Traversant le rue pavée, la noiraude observait de ses yeux verts les vitrines des différentes boutiques. Ce jour là, Myosotis portait un short en jeans clair, des escarpins à talon et un top serré de la même couleur que ses yeux. Elle avait attaché ses longs cheveux bouclés en une haute queue de cheval. Son petite sac noir en bandoulière soumis à un sortilège d’extension indétectable contenait sa baguette ainsi que sa bourse remplie d’or. Elle avait également emporté une poche de sang pour étancher sa soif. Durant une heure et demi, la jeune fille se balada sur le chemin sans entrer dans les boutiques, préférant faire un repérage avant de commencer ses achats. Lorsque midi sonna, sa gorge était sèche… Elle préféra se cacher pour boire en toute tranquillité. C’est pour cette raison qu’elle s’enfonça dans les sombres ruelles de l’allée des embrumes. Elle trouva alors un endroit peu fréquenté; elle s’installa sur un banc et sortit sa pochette de sang. Une fois la pochette vide, elle se leva, jeta cette dernière et repartit sur le chemin de Traverse. Durant dix minutes, elle évita de regarder les gens qu’elle croisait dans les yeux pour que les touristes ne voient pas la couleur rouge sang de ses yeux. Ses iris redevenues vertes, elle entra chez Fleury et Bott. Une jeune femme brune de vingt ans s’affairait à aider les clients. Myosotis prit les 7 livres dont elle avait besoin pour sa rentrée en sixième année. Elle se rendit ensuite vers la caisse et attendit que la vendeuse vienne encaisser l’argent. L’attente ne fut pas longue: trois minutes plus tard la Serpentard pu payer et partir. De retour sur le chemin de Traverse, quelque chose interpella la noiraude… Un parfum. Un doux parfum venait lui chatouiller les narines. Elle le connaissait terriblement bien pour l’avoir sentit à plus d’une reprise: c’était le parfum de Matt. Elle chercha de ses yeux verts d’où pouvait bien venir cette douce odeur. Elle ne s’était pas trompée, le brun se trouvait bel et bien sur le Chemin de Traverse. Myosotis fit un pas en avant pour aller le rejoindre mais quelque chose arrêta son geste. Ou plutôt quelqu’un: la directrice de Poudlard qui n’était autre que la tante de Matt. Après un soupire, la noiraude se résigna à le rejoindre et partit en direction de l’Apothicaire. Elle en ressortit cinq minutes plus tard avec une fiole de sang de dragon qui lui avait couté 12 Gallions. Elle ne l’avait pas achetée pour le boire, loin de là, mais pour l’utiliser comme ingrédient dans une future potion. Après ça, Myosotis alla chez Wiseacres où elle acheta une balance en argent à 7 Gallions, une boite de fiole en cristal pour 7 Gallions également et un télescope en cuivre à 5 Gallions. Elle avait dépensé la moitié de l’argent que contenait sa bourse. La noiraude devait encore acheter trois nouvelles robes de sorcier. Elle n’avait pas besoin d’une nouvelle cape d’hiver ni de gants en cuire. Elle se rendit alors chez Madame Guipure où elle croisa plusieurs élèves de son école. La vendeuse lui vendit 3 magnifiques robes qu’elle n’avait pas réussit à vendre pour leur petite taille et leur prix élevé. Lorsqu’elle ressortit du magasin, il lui restait assez d’argent pour une nuit au Chaudron Baveur. C’était parfait ! Au loin, elle aperçu Crépuscule Aylen accompagné d’un jeune homme blond qu’elle connaissait pour avoir vu à plusieurs reprises dans des journaux: un joueur de Quidditch connu. Myosotis n’avait jamais fait le rapprochement entre le cousin de Crépuscule et Zénith, le si célèbre poursuiveur. Ne voulant pas les déranger, la noiraude n’alla pas à leur rencontre. Elle se rendit immédiatement au Chaudron Baveur où sa valise l’attendait dans l’arrière salle. Le nouvel apprenti de Tom avait accepté de garder la valise durant la journée ce qui avait évidemment arrangé la noiraude.
Fin du Flash Back.
Toujours assise devant sa feuille restée blanche, la noiraude commença à écrire:
Coucou Nymphéa, N’ayant pas eu de nouvelle de votre part, je commence à m’inquiéter. Est-ce que tout vas bien pour vous ? Je commence ma nouvelle année dans très peu de jour, et j’aimerai bien savoir dans quel état de santé vous vous trouvez. J’ai revu Mr. Abramovitch durant ses vacances et je lui ai raconté comment c’était passé ma première année à Poudlard. Il vous résumera tout ça à votre retour !
En espérant que tout va pour le mieux, Je vous souhaite une bonne fin de vacances, Myosotis.
Elle n’avait pas réussi à écrire plus que ces quelques lignes car elle était préoccupée. Depuis qu’elle avait aperçu Matt dans l’après midi, la même question lui revenait sans cesse à l’esprit: Est-ce que Matt dormirait à Poudlard, avec sa tante, où allait-il comme la plupart des élèves prendre une chambre au Chaudron Baveur ? Essayant de se changer les idées, la noiraude enroula le parchemin et le ferma à l’aide d’un ruban vert. Elle se leva de sa chaise et partit en direction du bar. Lorsque le nouveau barman lui demanda ce qu’il pouvait faire pour elle, Myosotis lui expliqua rapidement qu'elle avait besoin d'une chambre pour la nuit. Heureusement pour elle, il y avait une chambre de libre au premier étage. Elle remercia le barman, pris la clé qui lui permettrai d'ouvrir la porte de sa chambre et se dirigea vers les escaliers de bois, tirant la valise qu'elle venait de récupérer derrière elle. Arrivée dans sa chambre, elle fut agréablement surprise de voir une petite boule de plume verte devant la fenêtre. C'était Phosphène ! Elle ne savait pas comment son Phénix-colibri avait fait pour savoir où elle se trouvait, mais elle ne chercha pas à comprendre. Elle ouvrit la fenêtre et fit entrer l'oiseau aux plumes vertes. Elle attacha rapidement le parchemin qui était destiné à sa tante et Clément et chuchota à Phosphène l'adresse où il devait emmené cette lettre. Après un cri de la part de l'oiseau, ce dernier s'envola par la fenêtre. La noiraude se mit en pyjama et alla se coucher dans son lit. Comme tous semi-vampires, elle ne dormait pas: elle se reposait !
Dernière édition par Myosotis (Adjointe) le Lun 22 Sep - 12:27, édité 1 fois |
| | | Winonna Diggory Prefet Poufsouffle
Feuille personnage : | Sujet: Re: le chaudron baveur Sam 6 Sep - 20:47 | |
| Winonna Diggory avait rangé sa chambre.Elle avait fait sa valise après être rentrée du magasin de Quidditch.Serenna l'attendait dans la salle principale du Chaudron , Mael et Côme étaient déjà repartis à leurs occupations.La jeune fille descendit doucement les escaliers , avec sa valise , son nouveau balai , ainsi que Tisamène dans sa cage, sous le regard amusé de sa meilleure amie.
-" Alors , c'est reparti pour une année "
Avait dit la Serpentard en s'adressant à Winonna.
-" Et oui , et je suis bien heureuse d'y retourner , le château et ses environs me manquaient terriblement."
La jeune fille s'avança vers le comptoir pour payer son séjour.Elle n'avait pas pût voir sa famille de tout l'été , et cela l'affectait particulièrement . Mais elle avait été bien entourée ici : Garance , Lune , Serenna , Maël et Côme.Elle ne s'était pas ennuyée une seconde , et avait préparé sa rentrée avec beaucoup d'intention et d’organisation.
- Au revoir Tom , et à bientôt.Bonne continuation."
La jeune poufsouffle s'éloigna dans Chasing cross Road , accompagnée de Serenna , pour rejoindre la gare de King's Cross , et prendre le Poudlard Express sur la voie 9 3/4. Une nouvelle année allait commencer. |
| | | Maître du Jeu
Feuille personnage : | Sujet: Re: le chaudron baveur Mer 17 Déc - 15:53 | |
| La Directrice sortie de la cheminée depuis peu en compagnie de Kalis, chercha Tom du regard et se dirigea vers le bar où il essuyait et rangeait des verres.
- Bonjour, Tom, comme je vous en avait informé, je vous amène M. Antoy qui est exclu de Poudlard pour la semaine.
- Bonjour Mme Dragonneau. Oui, j'ai bien reçu votre hibou, et Diagon va s'occuper de lui trouver de quoi travailler toute la semaine.
- Bien, je n'en attends pas moins. Il n'est pas là en vacances, mais pour travailler, les sorties lui sont donc interdites. Il est sous votre responsabilité, et je viendrais le récupérer dans une semaine.
Regardant sa montre à gousset, la jeune femme aux cheveux rouges fit un sourire à Tom et se tourna vers kalis.
- J'espère que vous montrerez un comportement irréprochable M. Antoy, et que vous mettrez ce temps à profit pour réfléchir à vos actes et aux conséquences. J'attends votre rouleau de parchemin la semaine prochaine ! Sachez qu'il n'y aura pas de deuxième chance !
Suite à ces mots, la Directrice repartit dans le foyer de la cheminée, et disparut dans un tourbillon en direction du château. Les bagages nécessaires à Kalis firent leur apparition quelques minutes après que la Directrice soit repartie à Poudlard. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Dim 28 Déc - 14:32 | |
| Oh non, Diagon était bien présent mais juste très occupé dans la cuisine. A l'arrivée de la Directrice, reconnaissant sa voix, il fit une courte pause, s'essuya les mains avec un torchon qu'il balança sur le plan de travail. En sueur, il était en route depuis cinq heures du matin et ses articulations commençaient à grogner contre lui, utilisant sa manche pour essuyer son front. Les fêtes de noël n'étaient vraiment pas de tout repos. Et s'il comprenait bien ce qu'il entendait, les miracles existaient, on lui apportait de la main d'œuvre! Le temps de sortir de sa cuisine, Miss Dragonneau était déjà parti. Il n'entra qu'à demi dans la pièce principale, ouvrant juste la porte pour voir le gamin qu'on lui apportait. Après un regard de haut en bas sur le petit "cancre", il lui fit signe de le rejoindre.
- Allez vient par là toi, j'ai du travail à te faire faire.
Puis il retourna dans sa cuisine sans l'attendre, mais lança tout de même un clin d'œil à Tom.
- Salut patron!
Lorsque le jeune homme le rejoindra, il verra Diagon derrière une grande table recouverte d'ingrédients frais et surtout de farine que l'on pouvait d'ailleurs retrouver sur son front et dans ses cheveux. Diagon prit un petit couteau qu'il fit tournoyer avec aisance entre ses doigt avant de tendre le manche au gamin. Diagon lui montra un tabouret derrière la table, entouré de plusieurs sacs remplis de patates.
- Aujourd'hui, c'est jour de bonté. En plus de te racheter pour tes bêtises, tu vas faire une très bonne action. Les sorciers ont tendances à l'oublier mais beaucoup crève la dalle, sans maisons, sans familles, la majorité à cause de la dernière guerre. Alors on a décidé avec Tom de faire une gigua tartiflette offerte par la maison pour ces pauvres mais bon gars! Tu vas donc m'éplucher toutes ces pommes de terres que tu mettra dans la grosse bassine d'eau à ta droite. Te plains pas mon gars, tu as au moins évité la journée d'hier où on l'a passé dehors pour informer nos braves gars du repas qui les attendaient. Par Merlin, je sentais plus mes orteils!
Diagon était une personne vivante et charmante lorsqu'on ne l'agaçait pas. Il avait toujours le sourire, même avec Kalis dont la seule chose qu'il savait de lui c'est qu'il était là après avoir fait des bêtises. Il voyait bien que ce gamin n'était pas un vilain petit canard, il en fallait plus pour le tromper.
- Ils seront là ce soir alors au boulot! On a pas une seconde à perdre!
Diagon, lui, s'occupait du fromage qu'il fallait couper en morceau. Pendant qu'ils travaillaient, Diagon, qui n'était pas un vilain bonhomme et qui ne trouvait pas Kalis être un vilain bougre non plus, décida de faire son curieux.
- Kalis c'est ça? Alors, qu'Est-ce que tu as bien put faire pour te retrouver dans ma galère au lieu de profiter de tes vacs, hum?
Diagon ne put s'empêcher de ricaner moqueusement en entendant Tom de l'autre côté râler après ses tonneaux de bières au beurres que le livreur venait seulement d'apporter. Sûr qu'il avait aussi rouspété après le retardataire. Le Chaudron Baveur avait une réputation et on ne faisait pas attendre son propriétaire quand il s'agissait de remplir les réserves, surtout avec le programme d'aujourd'hui! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Dim 28 Déc - 16:38 | |
| La directrice avait accepté de laisser partir la jeune fille. Elle lui avait donné un bout de chocolat avant de la laisser disparaitre dans cette fumée verte. La directrice lui donna aussi un parchemin qu’elle devait apporter à son père afin de prendre connaissance de son retour à Poudlard. Une fois avoir remercier d’un signe de tête Mme Dragonneau, Serenna disparu. Elle arriva alors au Chaudron Baveur avec son sac et le morceau de chocolat que lui avait donner la jeune femme avant de la laisser partir. La jeune vert et argent était encore toute tremblante de ce départ précipité de Poudlard. Son visage un peu pâle fut surpris par le bouillonnement présent au sein de cette auberge de Londes. Les sorciers riaient aux éclats. Evidement Serenna n’était pas arrivée au moment le plus calme. Une fois sortie de la cheminée, elle entendit une voix l’appelée. Elle chercha alors d’où cela provenait. Soudain, la jeune fille reconnu le visage de son père parmis tous les sorciers présent dans cette pièce. Serenna se mit alors à courir vers lui. Il la pris alors dans ses bras. Cela faisait depuis un an et demi qu’ils ne s’étaient pas vu. La jeune fille resta alors plusieurs longues minutes dans les bras de son père. Elle aperçu ainsi son frère derrière elle. Elle le prit dans ses bras en lui disant :
-c’est ça ne t’inquiète pas tout va bien se passer, tu m’as prit pour qui toi ?
Un silence entre la petite famille s’installa.
-Papa, j’ai quelque chose pour maman, cela pourrait la sauver.
Soudain le regard pleins d’espoir de Serenna prit le dessus. Elle sortit alors de sa poche le petit bout de serviette où était enroulé soigneusement la petite plateau nom inconnu. De ses doigts délicat elle prit la plante séchée et la donna à son père qui avait presque les larmes aux yeux en voyant sa fille se démener pour sa mère tant aimée.
-Ne pleure pas papa, ça va peut être s’arranger.
Les trois allèrent alors s’installer à une table. Serenna voulait en savoir plus sur l’état de sa maman. Une fois assise, la jeune fille demanda :
-Pourquoi m’avoir fait venir en vitesse alors qu’à peine deux semaines avant vous me disiez tout les deux que je n’avais pas à m’inquiéter ? Le frère de Serenna regarda alors son père avec insistance. Comme si les deux lui cachait quelque chose.
-Répondez moi, je dois savoir, je suis en droit de savoir ce qu’il se passe REELLEMENT.
-Doucement Serenna, je vais t’expliquer. Son père posa alors sa main sur la main nerveuse de sa fille. Il regarda alors son fils puis prit une grande inspiration.
-Comme tu le sais, ta maman est très malade, de retour de notre voyage, son état s’est aggravé, les médecins n’ont pas encore découvert de remède pour la soigner. Ils ont même prit en compte les recherche que tu avais effectué mais rien n’allais. Parfois elle allait presque bien mais certains jours les médecins nous disaient de se préparer… au pire. Désormais, j’ai envoyé cette demande à ta directrice afin que tu la vois avant ce jour tant redouté…
-Mais c’est pas encore maintenant, elle va encore vivre longtemps. Un ami a peut être trouvé la solution. Peut être que cette plante va l’aider, la soigner.
-Serenna… ta maman ne va vraiment pas bien..
-Mais papa il ne faut pas dire qu’elle va mourir tant qu’on n’aura pas essayer.
Il passa sa main sur son visage sans un mots. Serenna avait les larmes aux yeux, tout comme son frère et son père. Un silence vint alors à nouveau s’installer. Ils se regardaient. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Dim 28 Déc - 17:27 | |
| Diagon eut une réaction qui aurait put sembler incorrect pour une personne qui devait punir un élève et le remettre sur le droit chemin: il siffla devant la liste des méfaits de Kalis.
- Eh bin mon p'tit gars, tu as de la chance que je sois d'humeur festive en ce moment. La Directrice est vraiment gentille de seulement te renvoyer quelques jours, je penses que j'aurais été plus sévère. M'enfin, je l'avoue, je m'en fous un peu de tes bêtises (pour rester poli), j'te juge pas mon gars.
Oulla, Tom devait vraiment avoir un impact assez important sur Diagon. Depuis cet été, il avait bien changé, on pouvait déjà l'entendre à son langage. Ou alors, s'était juste l'hiver qui le rendait un peu plus rustre et joyeux, moins sévère. Un peu de douceur dans ce froid humide d'Angleterre s'il vous plaît! Bref, revenons à nos patates.
- Et au fait, pourquoi avoir fait tout ça? Même après t'avoir entendu, j'arrives pas à te voir comme un mauvais garçon.
Certains détails n'échappaient pas à Diagon. Le silence, l'obéissance... Bien trop sage pour un trouble paix. Diagon souleva son énorme marmite remplit de fromage et alla la mettre dans la chambre froide en attendant, revenant en prenant un couteau, se mettant lui aussi à éplucher les patates pour aller plus vite. Et il avait de l'expérience car il vous épluchait une pomme de terre en quelques secondes, parfaitement et sans regarder, allant bien plus vite que Kalis qui ne semblait pas être vraiment habitué à ce genre de tache. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Dim 28 Déc - 22:28 | |
| Diagon avait épluché 1/4 d'un gros sac de pommes de terres pendant que le jeune Kalis lui raconte le pourquoi il faisait toutes ces vilaines choses. Mais alors que Diagon ouvrait la bouche, il entendit Tome l'appeler. Diagon referma donc sa grande gueule d'italien, posa son couteau et essuya ses mains en se levant. Avant de sortir de la cuisine, il regarda Kalis une dernière fois.
- Tu sais mon gars, tu n'as pas besoin d'aller contre les règles pour trouver de la solitude et de l'ombre. Regardes moi, toujours seul dans ma cuisine, et surtout le soir. Pourtant, je fais rien contre les règles de Tom. Et pour la magie noire, essai de te mettre à la place des personnes autour de toi et qui tiennent à toi. Je suis sûr que l'un de tes prof' t'as mis en garde contre les effets de cette magie, aussi envoutante soit elle.
A ses derniers mots, Diagon serra son poing gauche, comme s'il ne contrôlait pas ses muscles et qu'ils réagissaient à un souvenir dans un grincement de peau humide.
- Pour le restes, je connais pas ta vie mais....
Il eut un léger temps de réflexion.
- Ouai -se répondit-il à lui-même- j'penses surtout que t'es un de ses gars qui a un gros problème d'affection et qui cherche inconsciemment à attirer l'attention de peur de disparaître. Pas une mauvaise chose mon gars, mais c'est pas positif non plus. Psychologiquement parlant, tes mauvaises actions sont comme un cris de désespoir. T'es un type seul et t'as besoin de quelqu'un pour te sortir de cette eau glacial où tu es tombé et qui te brûle les poumons jusqu'à l'asphyxie.
Diagon finit par hausser les épaules.
- Mais c'est que mon avis un p'tit, j'te connais à peine, mais c'est ce que je vois en te regardant. Si besoin, tu sais où me trouver.
Puis il sortit de la cuisine, laissant la dans ses dernières paroles le choix à Kalis de lui donner raison ou non, de lui laisser une chance de remonter à la surface et que s'il le voulait, de laisser Diagon lui servir de bouée. Tout le monde a besoin d'un point stable dans sa vie, et Diagon, avec ses nombreuses sœurs et demi-sœurs, pouvait bien accepter un frère et le paterniser pour l'aider.
Tom le fit venir d'un geste de la main et lui tendit une commande. Le pauvre vieux sorcier était débordé. Diagon prit alors le plateau et servit les boissons à une table avant de se diriger vers une famille en larme. Oula s'était pas la joie. Imperturbable, il s'approcha.
- Messieurs dames, une bonne tasse de chocolat chaud pour vous apporter un peu de réconfort dans votre moment visiblement pénible? La maison vous l'offrira de bon cœur si cela peut alléger un peu votre peine.
Diagon avait prit une voix douce et calme pour ne pas ressembler à un ennemi s'infiltrant au beau milieu d'une réunion de famille, restant à une distance acceptable pour ne pas les déranger, son calepin à la main. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Dim 28 Déc - 23:02 | |
| Le silence presque religieux, régnait à la table des Macmillan. Seul le brouhaha infernal de l'auberge cassait cette aspect déprimant. C'est alors qu'un homme s'approcha d'eux. Il s'agissait de Diagon. Serenna prit une grande inspiration afin de paraitre forte. Son père fut d'ailleurs très surpris de son comportement presque déplacé.
- Messieurs dames, une bonne tasse de chocolat chaud pour vous apporter un peu de réconfort dans votre moment visiblement pénible? La maison vous l'offrira de bon cœur si cela peut alléger un peu votre peine.
Serenna prit alors la parole.
-Mon pere prendra un café bien serré non sucré si vous servez cela ici sinon se sera un chocolat chaud comme proposé. Il en sera de même pour mon frère et moi-même. Mais je vous en prit nous comptons payer. C'est très gentil de votre part de nous adresser cette attention, mais nous n'en avons pas besoin merci. Serenna sorti alors quelques gallions de sa poche. Elle fit alors un sourire à Diagon avant de reposer son regard sur son père.
-Nous n'en sommes pas encore ici, les choses peuvent encore évoluer.
-Serenna, ta maman, votre mère, ma femme va mourir...
-Pas aujourd'hui
-Serenna écoutes papa...
-Tout le monde doit mourir un jour c'est comme ça, mais tant que nous n'aurons pas essayé cette plante, je vous interdit à tous les deux de vous montrez aussi pessimiste et défaitiste. Dès que nous aurons finis nos boisons nous irons la rejoindre.
Son pere pensa alors qu'elle était aussi têtu que sa mère, mais après tout les chiens ne font pas des chats comme le dit l'expression. Un silence fit à nouveau son apparition. Serenna avait le regard fuyant. Elle ne pouvait accepter que sa chère mère pouvait mourir. Il était pour elle inconcevable de vivre sans elle. Serenna n'était après tout qu'une enfant. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Lun 29 Déc - 21:57 | |
| Diagon s'inclina respectueusement comme un serveur obéissant à sa dame, donnant une touche d'humour dans ses gestes sans s'en rendre compte.
- Je vous apportes ça de suite.
Diagon fit demi tour et partit chercher leur commande qu'il ramena quelques minutes plus tard, posant les tasses devant chaque personnes.
-Vous payerez en partant, ne vous préoccupez pas avec ça pour le moment.
Si la jeune fille n'avait pas sourit après sa tirade, Diagon aurait été vexé, lui qu voulait bien faire. Mais ce ne fut pas le cas. Il quitta la table afin de les laisser tranquille et retourna dans la cuisine. Immédiatement, il remarqua la coupure de Kalis.
-Hey gamin, va te soigner ça avant d'infecter mes belles patates avec ton sang tiens!
Ah non un, repas pour SSA -Sorciers sans abris- ou non, on n'abimait pas ses précieux ingrédients! Non mais! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Mer 31 Déc - 7:59 | |
| Cet instant était très difficile à vivre pour la famille de Serenna. La jeune, fille étant jeune, gardait beaucoup d'espoir quant à l'état futur de sa maman. Elle espérait que son père ait tord. Cependant il n'en était pas. La maladie de sa maman avait empiété dans tout son corps. Elle était plus qu'affaiblit. Les yeux de Serenna était désormais dépourvu de tout sentiment. La jeune fille avait le regard vide. Son visage était comme figé dans le temps. Apres quelques minutes la jeune fille perçu un regard quel connaissait bien, dans l'ouverture de la porte. Son visage changeait, son regard aussi. Durant l'espace d'un instant, la jeune Serpentard ce sentait mieux, mais la porte se ferma. Tout redevenait comme avant. Puis Diagon, revint avec les boissons. Il déposa alors les tasses devant chaque membre de la famille. Serenna le remercia puis lui accorda un léger sourire. Les boissons était encore très chaude. Le silence régnait encore et toujours à la table des Macmillan. qu'allait-il se passer dans un futur proche... Serenna n'en savait rien. Tout se qu'elle savait était que son père n'avait jamais été aussi proche d'elle. Les malheurs ressoudent une famille... ou pas.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Jeu 1 Jan - 20:05 | |
| Diagon inspecta le travail de Kalis, déposant les pommes de terre plus loin avant de prendre un filet d'oignon.
- Tu vas me couper ça en fine lamelles.
Avec la scène de la famille en peine, Diagon en était revenu plus calme, travaillant en silence devant ses grandes marmites. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Ven 2 Jan - 18:53 | |
| Diagon fut surpris par la question de Kalis, le sortant de ses pensées. Il le regarda avec son sourire habituel.
-T'inquiètes gamin tout va bien. J'étais juste concentré sur ma cuisine et, je l'avoue, un peu perdu dans mes pensées. Allez, remet toi au boulot p'tit. Puis de nous deux, c'est à moi de te poser des questions pour que tu évites un peu mieux les ennuis à l'avenir. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Ven 9 Jan - 21:30 | |
| A la question du gamin, Diagon tourna un instant sur lui même avant de revenir à sa marmite, mélangeant ses ingrédients avec une énorme giga cuillère.
- Allez va gamin, à part cuisiner y a rien à faire d'autres pour le moment. Et personne ne touches à ma cuisine à part Tom. Files, mais restes dans les parages. Tu seras de corvée de ménage quand j'aurais fini. |
| | | Myosotis Chrysopelea Eleve Serpentard
Feuille personnage : | Sujet: Re: le chaudron baveur Sam 10 Jan - 0:39 | |
| [HJ: Ka... Diag... Minimum 7 lignes nom d'une pipe !] |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Sam 10 Jan - 15:10 | |
| A la table de Serenna, un long silence fit son apparition. Le frère de la jeune fille termina sa tasse avec entrain avant de sortir. Il voulait prendre l'air. Les tensions déjà existante entre Serenna et son père firent que le jeune homme eu envi de sortir par peur de se retrouver au milieu d'un conflit, qui n'était d'ailleurs pas le bienvenu. Le père de la vert et argent regarda alors son fils partir avant de finir sa tasse de café. Il tourna alors ses yeux vers Serenna qui avait le regard sombre, la tête vide, le corps figé. Il soupira. De longues minutes s'écoulèrent alors avant que la jeune collégienne se tourne vers son père.
-Serenna, il est temps d'y aller. Je vais rejoindre ton frère qui doit surement être gelé sous cette neige.
-Je finis ma tasse, vais payer et je vous rejoins dehors.
Elle enleva sa cape de la chaise et la tendit à son père. -Tiens vas lui donner.
Serenna regarda alors par la fenêtre en souriant légèrement. Tout était si beau. Quelques rayons de soleil se reflétèrent sur les flocons de neige. La lumière vint se refléter elle même sur les cheveux blond de la jeune fille. Elle sentit la chaleur de ses quelques rayons sur son visage. Serenna souriait encore un peu plus. Malgré ses yeux rouges, rien ne pouvait montrer qu'elle était triste. En regardant autour d'elle, Serenna se rendit compte de la présence de Kalis. Elle se leva alors et déposa quelques galions sur la table sans savoir réellement le prix de ses trois boissons. Elle en avait d'ailleurs surement donner un peu plus que le prix exact mais qu'importe. La jeune fille prit alors son sac et alla rejoindre délicatement son ami. Il semblait perdu dans ses pensées. Elle s'essaya alors sans bruit. Elle jeta alors un oeil dehors afin de s'assurer que son frère ne semblait pas trop frigorifié. En prenant son temps, Serenna semblait appréhender le moment où elle rejoindrait sa maman. Elle pensa alors que passer quelques minutes avec Kalis l'aiderait à surpasser cette peur grandissante de la perte de sa mère. En jetant à niveau un coup d'oeil dehors elle vit son père donner une lettre à un hibou afin qu'il la porte à la Directrice de Poudlard. Elle prit alors un bout de papier et se mit à écrire quelques mots avant de partir rejoindre sa maman.
" Je vois que tu es perdue dans tes pensées comme souvent. Je ne t'ai pas vu au bal, dommage que tu aies dû rester au chaudron lors de cette soirée. Dans tous les cas j'espère te revoir bientôt à Poudlard.
Une amie"
Serenna replia le morceau de papier, le glissa sur la table avant d'adresser un sourire au jeune Kalis. Elle repartie alors aussitôt sans un bruit. Elle était passée tel un fantôme. La jeune Serpentard rejoignit alors son père et son frère dehors où la neige tombait. Ses cheveux se recouvrèrent alors rapidement de ces flocons d'argent. Les trois disparurent instantanément.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Mar 13 Jan - 23:52 | |
| Diagon avait fini de mettre en route le repas quand Kalis revient.
-Ouaip, faut nettoyer ma cuisine maintenant. Une fois fait, tu pourras retourner à ton école. A l'unique que tu me promettes de ne plus t'attirer d'ennuis, du moins stupidement et inutilement. Pas besoin de faire des bêtises pour être libre.
Diagon le regarda un moment de son regard perçant avant de reposer son chiffon et d'aller chercher balais, serpillières, chiffons et sauts d'eau.
-Allez ptit gars, passes moi le balais tiens!
Diagon, lui, commença à nettoyer sa table de travail, jetant ce qui était à jeter, rangeant les aliments frais restant au frigo, les épices et autres dans les armoires et jetant les ustensiles sales dans l'évier. Il se mit ensuite à nettoyer la table avec une éponge. Il n'aimait pas trop utiliser la magie pour nettoyer sa cuisine. Alors quand il le pouvait, il le faisait manuellement. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: le chaudron baveur Jeu 15 Jan - 18:59 | |
| Diagon avait arrêté de travailler depuis quelques minutes, s'appuyant sur son balais pour observer le jeune garçon avec un sourire. Sourire qui s'accentua lorsque Kalis se tourna vers lui pour lui signaler qu'il avait fini. Diagon posa le balais dans un coin et observa la petite cuisine en s'approchant distraitement de Kalis.
-Oui, tu as fini. Bon travail, p'tit gars, ma cuisine est nickel.
Avec un grand sourire, il lui secoua les cheveux d'une main.
-Soit pas triste gamin, tu peux revenir me voir quand tu veux, et même m'envoyer des hiboux. D'ailleurs, t'as intérêt à revenir! Et si j'apprends de la dirlo que tu t'attires encore des ennuis, je viendrais en personne te botter les fesses!
Il parlait sérieusement mais en même temps, il continuait de sourire avec son air un peu idiot.
-Tu peux partir quand tu veux gamin, la poudre de cheminette est sur le manteau de la cheminée. Tu n'auras qu'à dire bureau de la directrice de Poudlard.
Il arrêta finalement de secouer ses cheveux et se recula d'un pas, le regardant avec un demi sourire. Il l’aimait bien, ce p'tit. Il serait très déçu de ne pas recevoir de nouvelles. Il jeta un coup d’œil à sa marmite mais il avait encore du temps. Le temps de lui dire au revoir et de lui souhaiter bonne chance. |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: le chaudron baveur | |
| |
| | | |
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|