La Forêt Interdite

- Je suis vraiment désolé Cédric. Je ne voulais pas te refaire penser à lui ou autre chose... C'était une terrible maladresse de ma part et je m'en excuse encore une fois.

Elle l'avait appelé par son prénom. Miracle... Voilà maintenant qu'elle posait sa main sur l'épaule du Gryffondor. Celui-ci sourit timidement.

- Ne t'inquiète pas, ce n'est pas grave. On fait tous des petites erreurs.

Si les calculs du jeune homme étaient bon, c'était à Maryliss de parler. Elle soupira un long moment avant de continuer :

- Mon père est Moldu. Il n'accepte toujours pas le fait que je sois une sorcière. Ma mère ne cesse de me dire qu'il m'aime quand même malgré tout ses propos déplacés mais j'en doute... Pendant les vacances il m'a vraiment énervé... alors... euh... J'ai peux être prit une grosse cuite et j'ai peut être vomi dans la chambre de la demie-sœur de mon amie Marianne mais bon...

*Ça explique tout*

Cédric posa à son tour une main sur l'épaule de Maryliss avant de répliquer sur un ton plus que sérieux :

- Écoute Maryliss... Rester fâchée avec ton père ne t'apportera rien de bon. Rester loin de lui aussi longtemps te déchirera le cœur. Crois moi, je suis passé par là. Je te conseille de faire rapidement la paix avec lui ou vous en souffrirez tout les deux. Moi, c'est ce que j'aurais fait.  

Le jeune homme baissa son bras mais ne baissait toujours pas les yeux tant il était hypnotisé par le visage de la Serpentard. Il rit gaiement.

- Alors comme ça tu as prit une cuite ? Raconte moi tout, je veux tout savoir !

- Oh tu sais, ce n'est pas si exceptionnel que ça. Je me suis simplement rendue au Chaudron Baveur et fait du charme au serveur pour qu'il me serve deux verres de whiskey pur feu remplis à ras -bord alors que je n'ai pas encore 18 ans...  Oh ! J'étais dans un sale état.

* Deux verres de whiskey pur feu remplis à ras bord ? Du charme au serveur ? Voyons Brown... Je pensais que tu étais une jeune fille sage !*

Maryliss marqua une petite pause, ce qui laissa le temps au Gryffondor de la détailler encore une fois.

- Pourquoi tu me fixes ainsi ? C'est flippant, je te le jure.

Cédric ne put s'empêcher de rire.

- Pourquoi n'aurais-je pas le droit de te fixer ?

Le jeune homme sourit de plus belle.

- Je remarquais simplement que tu étais vraiment très jolie. Vraiment, hein.

Maryliss semblait très surprise par cette remarque. Il sourit encore.

- Bah quoi ? Les compliments sont interdits maintenant ?

Le membre 'Maryliss' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'8 faces' : 5

Cédric suivit bien vite Maryliss. Il fallait qu'il rentre aussi de toute façon. Soudain, surgissant de nulle part, le Professeur Turner leur barra la route.

* Et m*rde... *

- Mademoiselle Brown, et Monsieur Walster... Et bien, je ne m'attendais pas à cela!

Cédric haussa un sourcil et enfonça ses mains dans ses poches. Il regarda la petite tête blonde de Maryliss et se mit à imaginer l'expression qu'elle faisait. Elle ne devait rien montrer... Derrière lui, Cédric entendit un nouveau duo arriver. Il se retourna et vit une jeune fille de sa maison accompagné d'un autre garçon.

*Ah ! Dieu merci, nous ne sommes pas les seuls rebelles de Poudlard...*

- Monsieur Peace et Mademoiselle... Skellington? Oh... J'aimerais des explications... de chacun d'entre vous!
*Aïe... On est tous morts...*

Cédric s'avança un peu, juste à côté de Maryliss puis dit au professeur avec son horrible accent allemand :

- Pour ma part j'ai entendu un bruit vraiment suspect venir de la Forêt et donc j'y suis allé pour en vérifier la source. C'est là que Mademoiselle Brown m'a trouvé. En bonne élève exemplaire, elle a voulut me ramener au château par la force et me dénoncer à un préfet mais je l'ai malheureusement retenue et j'en suis navré. Je crois que cette histoire n'est qu'un gigantesque malentendu. D'autres questions ?

Il avait lancé cette petite pique insolente avec un sourire angélique. Il n'avait raconté que la vérité, certes en la modifiant très légèrement. Il attendit une réaction de Mr. Turner, de la jolie Serpentard ou des autres jeunes gens.

Arrivant dans la foret interdite je sentis mes membres se modifier j’enlevai ma cape de la maison, la laissant sur le sol derriere moi. Je me mis a hurler de douleur  puis quelque instant apres je courrais sur quatre pattes. je rejoignis une meute de loup que j'avais deja rencontré en tant que loup garou.
Le chef de la meute m'avait protegé a plusieurs reprise et j'en avais fais de meme. Il est plus inteligent que les autres loups, je pense qu'il fait partis de la porté de louveteau qui avait ete relâcher dans la foret. Esce le seul survivant? Je ne le saurai probablement jamais. La nuit etait maintenant tombé sur poudlard et j'esperais qu'Elizabeth ai rejoins le chateau sans avoir raconté ce qui s'etait passé a qui que se soit.
* Avec la bague, elle ne craint rien. *
Je m'allongea tristement au millieu du refuge de la meute,  bientot rejoint par d'autre loup. J'etais pas comme les autres loup mon museau etait plus court, mes pupilles sont plus petite et ma queue est moins fournie qu'un loup normal. J'etais en securité  a l'abri des danger de la foret interdite.


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Avec la meute, nous sommes partis chasser dans l'obscurité et la noiceur de la foret. Diriger par le chef de meute, alors que nous traquions une biche, un cri strident se fis entendre. la meute s'arreta net laissant la biche s'echapper. Comme des feuilles souffler par le vent toute la meute courut dans la meme direction. Plus nous approchions, plus  il y avait une odeur que je connaissait que trop bien.

La meute se stopa, il y avait la  trois centaures et ma petite Elizabeth. Elle ne m'avait pas ecouté, quel tete de mule celle la. Entendant ces sanglots, je pris mon elan et courru sur l'un des centaur suivis de pret par le reste de la meute. une demi douzaine de loup emporterent  un centaure qu'on entendis crier dans toute la foret. le deuxieme fut  devoré par le chef de la meute et le troiseme fut plus reactif et dans la meler  me donna un coup de sabot qui me projeta au sol.

Le centaure me visa avec son arc mais n'eu pas le temps de decocher sa fleche qu'une vague de loup sortant de nul part emporta le centaure dans l'obscuriter. Celui ci n'eu pas le temps de crier. souffrant mais vivant je me leva et regarda Elizabeth, effrayé, elle tennais febrilement sa baguette. La meute l'avait encercler en lui laissant une ouverture en direction du chateau. Quatre de nos chasseurs la suiveront jusqua ce qu'elle retrouve la lisiere de la foret.


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Elizabeth en panique cria une fois de plus mon nom  ce fut la derniere fois avant de s'enfuir en direction du chateau escorté sans le savoir de quatre de nos chasseurs. Blessé, je pris la direction de notre taniere. En arrivant je me coucha sur le flanc gauche laissant  a l'air libre mon flanc droit  ensanglanter. Une louve vint nettoyer ma blessure. je n'avais de cesse de penser a Elizabeth qui m'avait suivis malgres mes instructions claires. Demain comment vais je lui expliquer mes blessures. Et puis ce lancer comme sa dans la foret interdite ça releve de l'inconcience.

* Sacré Elizabeth, faut il que tu sois folle amoureuse de moi pour faire une tel sotise *

Mes cotes me faisais souffrir et c'est avec peine que je m'endormis sous le regard du chef de meute. Dehors j'entendais un oiseau hululer surement Glen. L'esprit fatigué, je tomba de fatigue.

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Je me reveilla au petit matin, au millieu de la meute encore endormit. Je tenta de me lever mais mes cotes me fesaient extrement mal. Je laissa échapper un cri de douleur qui reveilla quelque membres de la meute. La louve qui avait veiller sur moi toute la nuit vint me voir et inspecta ma blessure avant de m'encourager a me lever. Debout, plié par la douleur, je me dirige chancelant vers la sortie. Ma bienfaitrice sortis avans moi, je la rejoignie dehors le soleil peinnait a percer la cime des arbres et l'air etait doux. Parterre a me droite se trouvait ma cape bien plier et soigneusement deposer sur un rocher. * Que fait elle la ? Serai ce Elizabeth ? J'espere que non. * Je me pencha douloureusement et rammassa la cape que je mis peniblement sur mes epaules. Le chef de  la meute sortis accompagné de deux loups.

- Merci mon ami, lui dis je, ce fut une nuit fort agité je ferai en sorte que le mois prochain Elizabeth reste dans ces quartier c'est promis.

A cela j'emis un petit rire qui finis dans la douleur puis continua:

- Je dois avoir une cote de cassé, je t'enverrai Glen si j'ai des problemes. Au revoir mon ami.

Saluant le loup, je pris la direction du chateau avec ma demarche de mort vivant. Je me mis a sourire en entendant des bruits derriere moi. J'avais une escorte. Sur le chemin, Glen vint me rejoindre.

- Bonjour mon grand, lui dis je en câlinant l'animal sur mon epaule gauche de ma main droite, sacrée nuit hein.

Glen regardait avec insistance ma cape.

- Je n'ai rien pour toi désolé, regarde.

Je mis ma main dans la poche qu'il regardait et decouvris un bout de papier que je lu.

- M*rde c'est Turner, il sait pour moi, il veut que je le rejoigne dans son bureau, apres cette nuit je pense pas que sa soit une bonne idée d'allé le voir, dis je en rangeant le bout de papier dans ma poche.

Glen me regardait d'un regard noir, si ces yeux lançaient des sorts  ils m'auraient tué sur place. Ce regard me fis changer d'avis, Glen avait toujours su a qui je pouvais faire confiance vis a vis  de ma lycantropie. Je lui dis alors:

- D'accord, d'accord j'irai voir ce Turner.

Je repris la direction du chateau, arrivant a la sortie de la foret je me retourna et regarda les deux loups qui m'avais escorté et dis:

- Merci pour tout les amis, soyez prudent.

Les deux loups acquiescèrent de la tete puis firent demi tour et disparurent dans la foret. Je me tourna vers le chateau et pris la direction du bureau du professeur Turner.

FIN DE RP SUITE dans le bureau du professeur Turner

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Sans vraiment réfléchir, je me mit à suivre le loup, Par pur réflexe. Chez moi, en Amérique, je le faisais souvent. "La forêt était dangereuse ? Si tel est le cas, pourquoi ne pas bloquer l'accès ?" Je vit le loup revenir sur ses pas, puis me regarder avant de se retourner et de commencer à marcher. Pas de doute, il voulait que je le suive.

C'est alors que je m'aperçu que Marlène était toujours en train de me suivre.

"Ex-excuse-moi, m-mais je ne co-comprend p-pas. Pou-pourquoi la fo-forêt est-elle dange-ge-gereuse? Et si...si c'est le...le cas, pou-pourquoi ne...ne pas blo-bloquer l'accès a-avec un so-sort ?"

Après un bref moment de silence je me remis à parler.

"Et pou-pourquoi je n'é... n'étais p-pas au cou-courent que la fo-forêt était in-interdite?"

Je sais ça fait beaucoup de question d'un coup mais quand même je suis pas pas désobéissante. Et j'ai horreur d'enfreindre le règlement. Mais comment puis-je le respecter si je ne le connaît pas.

Hanna me regarda et suivit le loup. Je lui emboîtait le pas, inquiète. Qu'est-ce qu'on était en train de faire ? Hanna commença à me mitrailler de questions :



"Ex-excuse-moi, m-mais je ne co-comprend p-pas. Pou-pourquoi la fo-forêt est-elle dange-ge-gereuse? Et si...si c'est le...le cas, pou-pourquoi ne...ne pas blo-bloquer l'accès a-avec un so-sort ?"

J'éclatai de rire.

"Pourquoi ? Peut-être à cause des loups-garous, des licornes, des centaures... 'parrait qu'il y a même des accromentules là-dedans ! Et sûrement d'autres trucs, d'ailleurs..."

Mon sourire disparut et je frissonnai. Je n'aimait pas l'idée da dangers dont je ne connaissait pas l’existence ou la nature.

"Pour le sort, c'est sûrement car les centaures, notamment, se révolteraient, et qu'en plus, vu la taille de la Forêt ce serait très compliqué.

Hanna hocha la tête puis demanda :


"Et pou-pourquoi je n'é... n'étais p-pas au cou-courent que la fo-forêt était in-interdite?
-J'en sais rien, Hanna. On le répète chaque début d'année, je pensais qu'on te l'aurait dit..."


Je réalisai que le loup s'était arrêté. J'écoutai et me crispai. Pas un bruit. Un silence mortel, un silence... anormal. Je sortit ma baguette et criait Hanna :


"Arrête toi ! Maintenant !"

Marlène me cria de m'arrêter. Surprise, me me pris le pied dans une racine et tomba par terre. "Qu'est-ce qui lui prend de crier comme ça? Elle va pas bien celle-là. En plus, j'ai failli avoir une crise cardiaque..." Je me relève doucement.

"Itaï... Sore ga itaidesu."

Je darde un regard vers Marlène. Avant de m'exclamer.

"Anata wa nani o shimashita ka ? Naze wareware wa teishi suru hitsuyō ga arimasu ka ?"

C'est alors que je rendis compte que, sous la surprise, je m'étais mis à parler japonnais. Je me maudis intérieurement, j'avais vraiment trop passée de temps avec Misu en Amérique...

"Go-gomen... Je v-veux dire, qu'est-ce qui...qui t'as p-pris ? Pou-pourquoi on d-doit s'arrêter ? J'ai eu u-une de ses...ses peurs m-moi..."

En voyant Marlène sur ses gardes, je sortie également ma baguette.

Je regardait  Hanna sans comprendre. Elle s'était remise à déblatérer en japonais...

"Go-gomen... finit-elle par dire. Je v-veux dire, qu'est-ce qui...qui t'as p-pris ? Pou-pourquoi on d-doit s'arrêter ? J'ai eu u-une de ses...ses peurs m-moi..."

Pour toute réponse, je me retournai. J'aperçu du coin de l'oeil Hanna sortir sa baguette :

"Fais gaffe..."


J'aperçu une masse noire et criai involontairement. Énorme sur ses huit pattes, noire, velue, une araignée se tenait devant moi. Plus exactement, une accromentule. Je bondit en arrière Et la regardai, figée, baguette à la main.

"Et merde... Diwal !" hurlais-je.


Une mandibule claqua près de ma tête et je criai sans réfléchir :

"Difindo ! DIFINDO !"



Le mandibule, sectioné, tomba au sol et jeu un mouvement de recul. L'accromentule se cabra et dirigea ses nombreux yeux vers moi. Terrifiée, je réfléchis à toute vitesse, cherchant la  bonne formule. Arania... Arania Exumai ! C'était ça ! J'ouvris la bouche, mais aucun n'en sortit, je n'arrivais pas à parler. Je trouvais particulièrement ridicule de mourir à cause d'une grosse araignée, parce que je n'arrivais pas à parler. J'avais envie de pleurer. Je jettai un regard paniqué à Hanna.

HRP:

"Une araignée? Elle est grosse... et toute mimi. Mais bon la, c'est l'heure de le punition elle embête Ma-chan! Si je me souviens bien, on appel ce genre d'araignée Accromentule. Bon il faut que j'agisse." Je Pris une voix autoritaire, celle que je n'aime pas utiliser, mais qui est bien utile face au prétentieux de bonne famille.

"Stop! Laisse la."

L'Accomentole dirigea son attention vers moi. M’inspirant de tout les psychopathes que j'a icrosé dans les manga je finis par décider de faire un mixe entre Madara Uchiwa, Erza Scarlet et Akashi Seijuro.

"Laisse-la." Ma voix baissa dangereusement d'un octave et se fit plus menacent. "Part est laisse nous tranquille, sinon je risque de m'énerver..." 

Je n'ai jamais compris ce qui me lier aux animaux mais j'ai toujours chérie ce lien. Dans mes relation avec eux, j'ai toujours sentie que j'étais l'Alpha. Et je compte bien le le montré si elle ne m'obéit pas.

"Tu ne bouge toujours pas?" 

Ma voix c'était dépouillé de toute trace de chaleur, et vraiment, dans ces moment la j'ai l'impression d'être une autre personne.
L'Accomentule du sentir que je ne plaisanter pas et se recula, prudemment, j'en profite pour aider Marlène à se relever.

"Tu vas bien?"

Je grimasse mentalement, je ne reconnaît décidément plus ma voix.